*Fendris fixa le marchant directement dans les yeux depuis le début de la conversation. Il lui répondit donc d'un ton neutre*
- Si vous ne possédez pas de papaye, vous m'êtes donc éternellement inutile monsieur. Dites-vous que si vous auriez été efficace, vous auriez pu garder ces bajoues qui ne furent certainement pas créé par l'engloutissement de pommes, aussi juteuses qu'elles puis-être. Il est décidément évident que ci je demande de la papaye, je désire le produit même et non pas un sous-fifre des continents froids. Un continent que vous connaissez bien sans doute, démontrant cette barbe velu qui recouvre votre point irritant pour vos doigts.
Mais la vint votre problème, a défaut de me tendre un fruit rare, vous trouvez quand même le lieu rare de votre chaire qui vous irrites pour vous caresser le menton. C'est donc que de moindre effort que de soulager mon irritation égale à la votre que de chercher dans les broussailles du monde et me satisfaire mes envies. N'est-ce pas votre travail en premier lieu monsieur?
*Il regarde alors directement le soleil et cligna des yeux pour revenir au marchant. Il pointa alors l'astre*
- Vous voyez ça? Chaque jour il s'enclint pour revenir aussi fort demain. Mais il n'y a pas d'escuse pour le serf de ne pas rapporter l'impôt au seigneur de chou, de blé ou de caille. Alors ne venez pas me parler qu'une noirceur vous importunes!
*Prend alors la premiere respiration depuis la fin du discour du marchand*
- Mais vous avez raison! Je suis un homme de principe! Et je sais très bien que la papaye ne court pas les rues, mais pousse le long de ceux-ci. Par-contre! Vous pouvez VOUS les courir et venir ainsi sauvé mon haleine du désastre face à l'incontournable manque de papaye au ventre! Et ce n'est pas un prix excellent que je recherche, mais un service excellent. Ce que vous êtes assez impressionnament apte a me donner. Car à défaut de vouloir me donner mon besoin de l'instant, vous vous retournez vers votre abris de sauvegarde, une prime! C'est alors que le chiffre quatre fait sont apparition. Quatre, pour remplacer UN. Pire encore, quatre pour UNE piècette.
*Rapide réflexion*
- Je vous doit cela mon ami, vous êtes grandiose! Je vous respecte et vous irez loin. Par le biais de vouloir remplasser ma faim, mon besoin, ma fixation du moment, VOUS me proposer ces quatres pommes dans le vouloir de me satisfaire d'UNE papaye et tout cela pour UNE piècette, me fesant alors la promesse de politesse, devant une défaite dont vous ne pouvez être blâmer, de me présenter alors l'équivalence de UNE papaye pour UNE piécette.
*Respire*
- Je vous louange de votre amabilité louable. Je prendrai vos pommes pour un tauros, que la papaye est équivalente selon vos principes. Et je les engloutirai en ce jour en votre honneur. Décidément, les hommes sont de vif penseurs et ont raison de dominer ce monde!
*Présente son tauros*