Du marché à l'auberge.

- trente trois, trente quatre, trente cinq, trente six...

*Comptant les gens qui sortait des auberges environnent pour vomir, Fendris opta pour celle dont la moyenne était la plus faible*

- La nourriture est surement moins mauvaise dans celle-ci!

*Il entra dans l'auberge, et resta à l'entrer un bon deux minutes, scrutant la pièce. Pas de malade, très bien! Il se trouva la place le plus près du feu disponnible pour retirer ses chausses et réchauffer ses pieds*

L'aubergiste glissa doucement son linge sur le comptoir fixant avec très peu d'émotion le nouvel arrivant. Il inspira bruyamment suivi d'un grave bruit de gorge avant de cracher derrière son comptoir.
Il passa ensuite son linge sur son crane bien lisse avant de s'accouder au bar fixant toujours l'étranger. Ses yeux d'un brun mielleux ayant rien de doux ou sucré, mais bien piquant. Son épaisse et longue moustache brune saupoudre de gris lui donnait une touche quelque peu sympathique.

'' Oh la! L'ami! Je vous sers quelque chose, ou sinon je devrais vous demandez créance pour le feu et cette bonne chaleur si réconfortante.''

L'aubergiste balança son linge dans un panier en osier sous le comptoir et en sorti un autre de sa petite armoire au niveau de ses genoux. Il commença a récuré une tasse sans quitté sont client des yeux. Au même moment ou il déposa sa tasse sur le comptoir il marmonna quelque mot a lui même bougeant sa moustache de gauche a droite. Finalement il s'adressa a Fendris de nouveau mais un peu plus fermement.

'' Alors Monsieur ? ''

*Fendris appuya son index sur ses lèvres, réfléchissant.*

- Je vais prendre du silence, de la chaleur et de la tranquillité en premier! Si le soleil ne se couche, et, de plus, quitte même l'horizon, c'est pour être tranquille. Mais vous vous présenté comme ce même soleil, on ne peut vous échapper! Alors éclairez moi de vos rayons et présentez moi votre douce couleur d'une tisane bien chaude et d'un peu de pain! Si tout reste aussi confortable, cette auberge me bordera au sommet de mes rêves.

*S'étirant, il ne retint pas un bâillement de confort.*

Stupéfait l'aubergiste se marmonna quelque chose a lui même de nouveau avant de faire vacillé sa moustache. Il fouina dans ses armoires tassant le tout dans une discrétions des plus absente. Ne trouvant pas ce qu'il cherchait il se massait le crane de sa main droite tout en se jouant avec la moustache de la gauche.

'' hmmm où où où .... où ai-je foutu cette ferraille hmmm oui où....hmmm ''

Après une très courte et absurde moment de réflexion il se précipita ver d'autre armoires avant de tout remué a l'intérieur de celle-ci et finalement il trouva l'objet qu'il cherchait. Une bouilloire toute neuve! Il poussa une petite porte derrière lui et parti dans ce qui semblait être la cuisine ou l'arrière boutique , un petit instant. Il revint avec sa bouilloire bien en main, celle-ci semblait a présent plus lourde. Il leva le petit panneau du comptoir et alla d'un pas rapide et bien décidé la mettre sur la grille juste au dessus du feu de la pièce.

Pratiquement fier de lui , l'aubergiste eu un sourire en se flattant le ventre et en se balançant sur la pointe des pieds.

La porte s'ouvrant à nouveau, une jeune femme s'arrêta sur le bas de porte et jeta un regard à l'intérieur. Semblant quelque eu s'atisfaite, elle finit par y entrée totalement. Son regard s'attarda légèrement sur un des inconnus de la place, y détectant une magie plus forte que la normale, et elle l'espérait, moins malsaine que celle dont elle avait eut la preuve au courant de la journée. Reconnaissant ce qui pouvait à priori ressembler le plus à un aubergiste, elle l'interpella.

- Pardonnez-moi, j'aurais besoin d'une chambre pour la nuit, s'il vous en reste encore une...

Elle attendait, le regard franc et droit. Plusieurs épaisseurs de vêtements superposé rendait quelque peu la tâche difficile pour connaître la taille réelle de la jeune femme, mais sa faible grandeur imposait une fragilité. Un sac en bandouillère et une large paquet très long dans son dos faisait office de bagage. facilemet reconnaissable à son peuple d'origine, ses yeux bleu et ses cheveux de jais ne laissait aucun doute sur sa provenance.

- Bon travail, Sol, dieu du feu. Je vais me délecté de cette eau bouillante. Mais quoi de mieu qu'un peu de plante à saveur mijoté pour que ce soit une vrai tisane! Voila pour vos efforts et ma future tisane!

*Lui tend un Tauros et reniffle la chaleur*

- Vous aimez votre ville?

*Patiente sa réponse durant que l'aubergiste répond à la nouvelle venue*

L'aubergiste se tapota le ventre en ce tournant ver la nouvelle arrivante.

'' Oh Gustavio le Merveilleux a toujours une chambre pour une gente damoiselle. Mais tout dépend du prix que vous voulez payer. Gustavio a trois type de chambre. Les chambres économique si la compagnie des autres voyageur ne vous oportine pas c'est 1 tauros. J'ai aussi ce que Gustavio aime appeler la chambre du poète, c'est une chambre bien simple avec un lit bien dur entre 4 jolie mur pour une somme de 3 tauros. Finalement Gustavio a aussi la chambre de haute classe, celle si est trop cher et ne ce fait jamais prendre. ''

L'aubergiste retourna près du feu et posa la théière sur la table de Fendris. Il sorti un pochette accrocher avec une corde et alla le plonger dans l'eau chaude. Sans même regarder Fendris , Gustavio saisis le Tauros.

'' Oh oui Cette ville accueille toujours les meilleurs. Mais ceux qui y habite sont moi bon pour Gustavio car il ne dépense pas beaucoup''

Il retourna dérriere son comptoir en chantonnant joyeusement.

'' Alors petite Ido quelle chambre veux-tu ? Gustavo te le dis, ici il a pas de préjugé seulement des cinglés. ''

L'aubergiste ria de bon coeur jusqu'a rendre ses joues rouge.

Finélas prit le tempsd e réflection, surtout que l'aubergiste répondait à l'autre occupant principal de la pièece. Elle n'avait pas beaucoup d'argent et désirait l'économiser au maximum. Cependant, la présence de d'autres personnes dans la même chambre l'importunait quelque peu. Elle y réfléchissait encore aant de se rendre compte que l'aubergiste attendait visiblement sa réponse... à gorge déployée. Quelque peu mal-à-l'aise, elle répondit.

- Je vais prendre celle à 1 tauros... Si vous avez encore de la place dans une chambre où ne dormes que des voyageuses de préférence...

S'approchant alors du feu, elle s'y réchauffa quelque instant. Les temps se fesaient de plus en plus froid la nuit.

*A grande réflexion, quoi de meilleur que cette tisane qui mijote. Jusqu'à ce que...*

- Mais qui êtes-vous?

*A visage surpris, cette être vient d'apparaitre dans la réalité de son existence. Elle prenait SA chaleur qu'il a pris en premier. Ne pouvait-elle pas patienté qu'il quitte la pièce avant de trainer devant lui, importunant son espace vitale. Bah! Ce n'est pas grave. Pourquoi une petite femelle frêle ne peut pas espérer ajouter quelque minutes de plus a son existence infime, négligeable. Attend un peu, pourquoi je me parle encore? Cesse! Voix dans ma tête! AHHH! Bon d'accort, puisque je ne peux pas me débarrasser de toi, petit narrateur de mes actes, je vais te mettre en action. Fendris se frotta les joues et toucha la bouilloire. Froide... encore... combien de siècle encore dois-je attendre?*

Comme si, faisant quelque chose de mal, l'être magique proche d'elle sembla soudain détecté sa présence proche de lui. Restant quelque peu sur ses gardes, elle tourna la tête vers lui.

- Qu'une voyageuse... comme vous j'imagine...


Bien sûr, en plus d'être voyageuse,elle était également future mage, et l'énergie qui se dégageait de l'être, bien que d'une race magique, avait une magie qui en ressortait. Elle pensait donc qu'il se pouvait qu'il soit aussi un étudiant, peut-êtr eplus avancé qu'elle ou peut-être même maîtrisait-il déjà la magie? Qu'importait après tout? En tout cas, il devait être bien impatient, c'était parfois long à faire bouillir l'eau, surtout dans une auberge qui n'en tenait pas déjà chaude... Ce devait plus être un bar qu'une auberge, avec chambre pour ceux trop ivre pour retourner chez eux...

- Haha, non pas du tout, c'est le monde qui voyage autour de moi. Mais dite-moi, vous vous imaginez souvent des choses comme ça? C'est magnifique, le don inné des humains je présume. Peut-importe où ils se trouvent, ces idées illusoires qui se génère de votre logique vous donne une couleur qui ne transparait pas chez les autres. Et c'est cette couleur qui font en sorte que les hommes dominent le monde aujourd'hui. J'espère que vous en êtes fière.

- Mais pourquoi voyagez-vous? N'êtes-vous pas une race sédentaire? N'élevez-vous pas vos bêtes de pâturage que vous lapidez pour en obtenir votre source alimentaire? Seriez-vous alors un exclus de votre race? Si oui, quelle honte. Un exclu d'une race aussi magnifique et exponentielle que les humains doit-être une véritable déception de l'évolution sociologique et académique.

- Je me trompe peut-être. Car si je met en branle les deux phrases de votre réplique, votre imagination combiné à vos déplacement peut résulter à une élite. Une élite qui voyage dans le but d'inculquer aux autres hommes le savoir obtenu de tribut en tribut pour une évolution simple et empirique. Comme ce serait excitant de pouvoir un jour étudier un tel spécimen.

*Il tappa des mains, puis retoucha encore à la bouilloir. Tiède.*

La eune femme avait écouté sans mot dire la tirade du sombréique. Il semblait élaborer toute les différente possibilité que la jeune femme pouvait être dans cet univers immensément grand.

- Vous avez une drôle de façon de percevoir le monde, peut-être en vos différences avec les humains, comme vous dites.

Elle prit un temps, rassemblant ses idées et fixant le feu devant elle.

- L'imagination est un cadeau, qui permet de croire en nos rêves et d'avoir la force de les atteindre. Sans rêves, aucun objectif peut se créer et donc aucune amélioration ne peut être faite.

Elle reprit un temps avant de continuer.

- Certains hommes ont le goût du voyage dans le coeur et le sang et il serait cruel de les garder dans une ferme à vaquer à des occupations sédentaires lorsque le nomadisme est en eux. Puissent-ils trouver le chemein vers leur destiné de rêve.

Elle tourna alors son regard vers l'homme.

- Ni moi, ni aucun de mes ancêtres n'ont de reproches envers l'humanité, je ne vois donc pas pourquoi moi ou eux serions exclus de celle-ci. Mais je ne suis pas non une élite enseignant aux hommes la connaissance, il s'agit plutôt de l'inverse... Je voyage afin de parfaire ma connaissance.

Gustavio regardait ses deux seul clients du moment a tour de rôle écoutant leurs conversation. Il fouina a gauche et droite remettant de l'ordre dans ses armoires ou le bordel s'était intégré par une histoire de thé.

'' Demoiselle , si vous voulez toujours la chambre que Gustavio vous a proposez , il faudra tout de même payer vous savez ? Gustavio préfère toujours voir la couleur de cette petite pièce avant de vous accepter dans une...heh vous voyez le jeu de mot ?''

L'aubergiste lui se trouvait bien drôle et ria de nouveau de bon coeur. Il agrippa le linge qui était resté sur le comptoir avant de le lancer dans son panier a ses pieds. Encore une fois il ressorti un nouveau linge et se remit a polir son bar en chantonnant un air des plus enjouer. Avant de finalement s'accouder au bar en regardant de nouveau ses occupants.

'' Bon bon bon, vous allez prendre autre chose maintenant? Gustavio va préparé une bonne soupe aux légumes , elle sera toute chaude. C'est très bon pour le moral et pour le l'esprit des voyageurs. Vus que vous êtes deux Gustavio vous ferais une petite marmite pour vous deux, et disons 2 tauros au total. Un prix d'ami croyez moi, Gustavio le charitable aime garder sa clientèle heureuse. Pour quelle lui revienne. ''

Il faisait balancer de nouveau sa moustache en attendant la réponse.

- Quoi!?!

*S'étouffant presque dans sa propre salive aux paroles de l'humaine*

- Des rêves? Non! Les rêves sont rien, que des images du stress, de l'agressivité et des pulsions sexuelle de notre journée qui s'évacue, faisant le ménage de notre mémoire. Les rêves sont des caprices de notre temps de travail antérieur. S'y fier serait la plus grosse erreur qu'il puis exister car il ne s'agit que de nos pulsions les plus animal, égoïste et complètement arriéré logiquement. Une fois que l'on comprend ça, on évite de faire des actes complètement ridicules, et de développer dans de fausses argumentations comme tu viens de me faire.

*Ses paroles enflammé le fit rougir*

- Quand on prend le temps d'observer et de réfléchir on comprend cela.

*Se retournant vers l'aubergiste, toujours aussi enflammé dans ses paroles*

- Non pas de soupe, j'ai l'estomac noué soudainement. La déception n'est jamais une ouverture d'appétit.

*Touchant à la théière, encore tiède... non mais!*

Glissant la main dans l'un des nombreux tissus la recouvrant, y trouvant un chemin qui pouvait sembler long et complexe, elle sortie aisément une pièce qu'elle remis à l'aubergiste.

- Voilà, puisse-t-elle vous être profitable... Je décline également votre offre pour votre soupe, il ne faudrait pas la peine de travailler aussi voir pour seullement deux personne, mais l'attention est gentille, je vous en remercie.

Retournant son attention à la créature magique, Finélaès sourit doucement.

- Vous sautez rapidement au conclusion... Il ne faut pas confondre instinct et rêve, il y a là une grande différence. Et ce ne sont aps les rêves, mais bien la vie quotidienne qui apporte stress et agressivité. Cependant, puisque vous disiez que les humains possédait une imagination qui semblait vous manquez, peut-être ne pouvez-vous pas comprendre toutes les possibilités qu'elle comporte, incluant les rêves...

Elle prit un temps de silence, pour elle même. Son regard était river vers le feu dans l'âtre et les flames dansante avait quelque chose d'hynoptisant.

- Vous être prompt à réagir et plutôt impatient, cela doit vous créé plusieurs ennuis et stress dans votre vie quotidienne...

*Il regardait l'humaine avec un certain vide, comme si ses dires l'avait bousculé*

- Confondre? Je serais un très mauvais observateur si je me mettais a confondre des états corporels et mentaux. Les rêves ne sont qu'une interprétation imagé de "l'instinct" si tu préfères. On se libère de nos pulsions gardé en geôle par la censure. Biensure, plus on est vieux, plus la censure est grande, plus les images diffèrent de la réalité. Si vous voulez vous baser sur vos rêves, buvez de l'alcool et manger des champignons, et interprété les images qui vous voyez, les buts seront les même.

* Il toucha sa bouilloire et sourit, presque temps*

- Je ne suis pas impatient, j'ai tout mon temps pour tout et rien. Je regarde tout passé. A un point tel que j'ai parfois de la difficulté a savoir si c'est une heure ou une minute qui passe. J'appelle ça sans doute un don du ciel puisque je ne perd jamais mon temps, tout ce que je fais est prolifique à mon future. Chacun de mes dires et mes mouvements sont calculé, et je garde ouverture à l'erreur. Mais tu n'as pas cette chance, je te conseil d'accepter sa soupe énergisante, pour te permettre de vivre ta vie au plus vite avant qu'elle ne s'éteigne. C'est comme ça que ça marche chez vous les humains, et ça marche bien, votre société ne perd pas de temps.

- Ce ne sont pas des rêves que l'alcool ou d'autres substances vous procureront, mais des hallucinations...

Finélaès sourit. Cet être étrange créait à partir de quelque mot plusieurs pensées divergeante qui amusait la jeune fille.

- À regarder tout passer, n'oubliez-vous pas un peu de vivre? Vous dites ne pas perdre de temps pour n'avoir aucune notion de temps, je le crois. Mais en disant ensuite que l'être humain ne perdait pas de temps puisque notre société ne perd pas de temps non plus... Cela n'est pas un peu, comment dire, étrange?

Sortant d'une des nombreuses cachettes que recelait ses vêtements, la jeune femme sortie un morceau de pain.

- Lorsque je refuse quelque chose, c'est en pleine conscience de causes et conséquences.

Elle offrit un bout à l'être magique.

- Le monde est étrange! Avez-vous déjà questionné le concept même de la vie? Du temps? Pourquoi la vie ou l'âme, lorsque l'univers dans sa propre évolution est stagnante et droite sous des ordres bien précis! Sommes-nous la marge d'erreur des dieux? Cette marge qui ont pris l'aspect de la vie même? Et lorsque l'on parle en se sens large, une image reste une image, la seule différence est de distinguer le vrai du faux entre les images et la réalité. Hors si les hallucinations sont fausses, les images des rêves le sont tout autant. Tant bien qu'ils retrouve une similitude à la réalité, ils en restent des images. Faut-il alors croire une image plus que les autres? Si je crois aux rêves, pourquoi pas aux mirages ou aux hallucination?

*Élevant les yeux aux plafonds pour réfléchir, Fendris reprit*

- Et c'est la que tout prend son sens! Si je prend le temps de ne perdre du temps car j'ai tout mon temps, il est clair que je conçois une ordre métacognitive sur ce que je perçois. C'est alors que cette ordre, appeler logique, vint pousser les obstacles de contradiction comme des rêves qui ne sont que des illusions que notre mémoire crée pour nous confondre, nous détourné de cette froide logique, cette ordre glaciale.

- Mais je n'aurai jamais su que les humains se développerait aussi vite si je n'aurais pas eut se point de vu, et que j'aurais déduit que les humains gagne du temps à ne pas perdre du temps dans leur étroite chaine de vie. Car même si j'ai tout mon temps, mon empressement à arracher le temps de son espace pour me l'approprier est moins grande, puisque je ne suis pas "assoiffé" comme une bête affamé.

- Un autre facteur, vos immenses défauts et faiblesses vous rend fort! Plus une créature est faible, plus elle domine car elle apprend à géré un monde de fort. Dans ces cas-ci, votre manque d'affinité spatiale et magique vous a donné une forte activité cérébrale vous permettant de jouer rapidement, et avec ruse. Votre manque de rapidité corporel vous a amené à créer, inventé. Et enfin, tout se cible vers une grande explosion d'évolution.

*Il saisi la bouilloir avec fierté, la pose sur sa table et attend un verre de l'aubergiste*

- Voila pourquoi j'ai coupé avec le monde, voila pourquoi j'ai tranché mes ailes. Je veux être faible pour être fort! Je voyage sans but pour trouver le manque. Je veux arracher autant de temps dans l'espace qu'un humain, mais dans l'éternité de ma vie. Par mon développement naturel, par la magie, et par mon cerveau, je deviendrai le paragon que je me conçoit.

*Il fait signe que non à l'égard du pain*

- Jai de bonnes papayes dans mon sac qui n'attend qu'une place se fasse dans mon estomac!

- Je n'ai jamais dit que les rêves étaient réalités... Mais ceux dont on a dans nos coeur la conviction de faire une bonne chose devrais pouvoir nous être accordé. Malheureusement, en tout être, un chaos existe et c'est à l'individu de parvenir à le calmer, si possible afin de faire des choix éclairés.

Elle prit un peu de temps d'écoute, calmement placée sur l'un des fauteuils faisant face au foyer. Bercée apar la chaleur des flammes, leurs lueurs rendaient un côté irréel à la scène.

- Peut-être le fait d'avoir un point de vue extérieur vous permet ainsi de faire ces observation, également. c'est dans l'odre de la nature de tenter de profiter de ses faiblesses pour en faire une force tout en gardant ses vrais forces également. Tout est question d'équilibre dans ce monde.

Elle reprit un temps, mangeant en petite bouchée son pain et le mastiquant savament afin d'en extraire la saveur.

- C'est un sacrifice que vous avez fait dans l'espoir de devenir plus fort? Et si c'était justement ces ailes qui était votre faiblesse, mais qui vous rendez plus fort? Ne sont-elles pas une source magique de votre être? Ne vous auraient-elles pas permises de plus grandes concentrations magiques tout en étant un point faible de votre physique? Car j'imagine que ce ne sont pas des membres très robuste, je me trompe?

- Calmer le chaos? Le chaos ne se calme pas, il passe. Lorsque l'on parle d'un tel chaos on parle des ficelles même de l'existence. Tant que ce chaos vie, on a des choix qui nous est propre, on a des forts et des faibles, on a des guerres et des paix, etc. Si le chaos disparait, probablement que la vie même disparaitrait. Sachez que c'est dans le chaos que l'on retrouve la vie, car la vie ne cesse de détruire et d'émietter ce qui se construit.

*Fait couler lentement son thé dans sa tasse*

- Pourquoi des races qui détient des forces titanesques ne sont que tribaux? Car ils ont une vie facile, ils ont rien a combattre. Mais ceux qui ont tout a défier, s'ajuste pour sa survie, s'adapte et évolue. C'est pourquoi les humains sont une société forte et empirique, et pas les géants. C'est la même chose pour moi, si je s'abstient de mes ailes, et bien je m'adapte à lancer des sorts sans leurs propriétés magiques. Hors le jours que je l'ai perdrai, je ne subirai pas de désharcellement face à leur manque, puisque mon éducation, mon mental sera évoluer pour faire face à cette catastrophe. Mieu pour moi de le faire maintenant pour que durant mes observations arcanes et cosmique, rien ne me perturbe. Comme vous le dites si bien, tout est question d'équilibre, et mon corps s'adaptera à ce manque complètement superficiel.

- La vie ne détruit pas, elle transforme ce qu'elle a sous sa main pour en faire quelque chose de nouveau. C'est un cycle, une roue qui tourne et qui fait avancer justement le temps, mais également tout ce qui est affectée par la vie...

Finnissant son pain, elle commençait à sentir l'effet de la fatigue sur son corps. C'était un long voyage qu'elle avait parcouru et il lui en restait encore un peu avant de trouver ce qu'elle cherchait... Un lieu de connaissance...

- Oui, c'est une façon de voir les choses... La fatique me prend, j'ai fait long voyage et puisque votre thé est prêt, vous pourrez le déguster tranquille. Ce fût une conversation bien agréable et je vous souhaite la bonne soirée. Nos chemins se recroiseront peut-être si la destinée le veut bien...

Se tournant vers l'aubergiste, Finélaès sourit.

- Serait-il possible de me montrer cette chambre?

*Écarquillant les yeux*

- Vous êtes génial, en effet, sans le chaos qu'est la vie, et la destruction qu'elle apporte, il n'y aurait pas de temps car rien de bougerait ni changerait par l'ordre absolu. C'est grâce au cycle de la vie que tout se trame et que la réalité prend son envole. Mais il ne faut pas se méprendre; oui la vie détruit, car elle apporte incontournablement à la mort, cette énergie qui apparait et disparait, ce qui est inverse à la thèse des alchimistes.

*Bois une gorgé, poussant un soupire de contentement*

- Haaaaaaa, mais faite donc, prenez du repos pour attaquer la suivante. Je reste derrière vous dans l'infini, hors de ce cycle.

*Détourne alors le regard vers le feu, regagnant ses pensés flouant, dérivant et incessant qui avait pris pause lors de la discution. Déjà, des semaines et des années pourrait passer et il ne s'en appersevrait pas... jusqu'au prochain stimulus extérieur.*

L'aubergiste s'accouda sur le comptoir et alla parler mais Fendris et finélaes son retomber dans la discutions qui sonnait en blablabla dans les oreilles de Gustavio.

Finalement l'aubergiste quelque peu fatiguer par tout les dires de Fendris s'adressa a l'ido.

'' La chambre ? oh et bien c'est très simple, vous montez les marches et c'est celle avec la porte en boit blanche. Elle est la seul porte blanche, si vos yeux sembles ne pas distinguer le blanc , cherchez la grise alors. ''

Gustavio espérait avoir des nouveau arrivant d'ici peu car pour l'instant la journée ne lui était pas très généreuse. Alors il reprit son air plein d'entrain et s'adressa cette fois ci a Fendris.


'' Hey l'ami peut-être avez vous besoin de quelque chose d'autre que ce thé. Vous savez Gustavio l'ingénieux a beaucoup de recette de boisson de son cru! Tous aussi formidable les unes que les autres , un vrai délice pour ceux qu'il le verse dans leur bouche et qui laisse doucement descendre le tout dans le fond du gorgoton. Ou peut-être préfériez vous quelque chose pour une tite mise en bouche l'ami. ''

L'aubergiste retira son tablier pour le lancer dans son panier et alla en chercher un nouveau dans l'armoire.

La jeune Ido lui sourit.

- Passez la bonne nuit, créature hors-temps...

Le saluant, elle se dirigea alors vers l'aubergiste. Elle le remercia de la tête.

- Merci bien... Je saurais la trouver.

Elle monta les marches et se retrouvant dans un couloir, elle trouva rapidement la porte blanche. Elle l'ouvrit et la trouvait vide... de personne. Fermant la fenêtre, elle déposa son sac sous le lit. Fermant la porte, elle y appuya son bâton enveloppé : si quelqu'un entrait, la porte n'ouvrait que de quelques centimêtre avant de faire tomber le bâton. De quoi la réveillée le cas échéant.

Enlevant deux couches de vêtements, elle s'étandit et s'endormit assez rapidement, la marche de la journée l'avait tout de même épuisée. Rien ne se passa durant la nuit, ce qui lui permit de se reposer à fond. En se levant, elle changea son dernier vêtement, le mettant dans son sac et remit les deux sur le dessus. Faisant un dernier tour de la chambre afin de ne rien oublier. En descendant de l'étage, elle entendait le calme matinal dans la bâtisse. Probablement que l'aubergiste était encore couché... Elle sortie donc, ayant de toute façon payée sa chambre la vieille. Le soleil se levait à peine et rosait un peu le paysage. Replaçant son bâton et son sac, elle débuta une marche vers l'endoirt où, selon les villageois, c'était étrange : la seule façon de parfaire sa connaissance serait par là...

*Gardant les yeux fixé sur les ombres des flames, il répondit à l'aubergiste*

- Oui, quelque chose de maigre pour l'estomac, mais de solide. J'ai encore beaucoup de voyage a faire, et la nausé n'en fait pas parti. Le ventre plein est donc à restraindre pour ne par rendre les longues marches douloureuses. Je vous offre en paiment de surveiller le feu le long de la nuit, et de le garder alimenté. Sinon, jai une piécette ici.

*Fendris resta simple et lunatique, trop ancré dans sa tête*