Un bon matin

Sortant de l'auberge, Finélaès marchait depuis un bo moment déjà lorsqu'elle apperçu un demeure plus imposante que celle vu auparavant. Par les indications qu'elle avait reu des villageois, elle su que c'était à cet endroit qu'elle pourrait alors parfaire sa connaissance et entreprendre les études qui lui permettrait d'atteindre un plus grand statue. Ce ne serait pas chose facile et sachant qu'elle ne possédait pas beaucoup d'argent, elle se demandait un peu comment elle parviendrait à son but. Mais chaque chose en son temps. Elle avait vu un cartier militaire et s'il le fallait, elle irait faire des missions afin d'obtenir un salaire pour payer le luxe de la connaissance.

S'approchant alors du manoir, elle traversa le jardin avant, admirant la beauté des lieux. Une énergie de paix et de sérénité y était installé et aussitôt elle sut qu'elle s'y plairait. Sa vision lui montrait nombre d'éléments autour d'elle, aveuglant presque comme le soleil de midi. Devant la grande porte, elle se sentie toute petite, mais ce n'était pas elle qui serait impressionnée par l'État physique des choses. Elle frappa donc à la porte massive de deux bon coups.

Une voix venue de derrière interpelle la jeune Ido.

He!! ho!! mademoiselle! Ma demoiselle! un instant s'il-vous plait!

Un jeune homme en robe brune de moine arrive en courant tout essouflé derriere la jeune ido. Il lève la main dans les airs en reprenant son souffle avec un peu de difficultée.

Excusez mademoiselle. hfff, hfff. Je vous ai entendu questionner les passants et j'ai été intrigué. hfff-hfff Je me suis demander ce qu'une petite fleur voulait bien réellement espérer découvrir dans un vase. Je vous en prie, réfléchissez un instant à la beauté de votre nature et ne vous laissée par dénaturée par l'attrait d'un bouquet de fleurs...

Ayant dit ce qu'il avait a dire, il se releve et se penche par en arriere, prenant un grand souffle et posant ses mains sur les hanches. Il regarde la jeune femme avec un grand sourire franc et rit avec bon coeur de ce qui semble l'amuser.

Hahaha, vous marcher vite! pensez-y! au moin un instant. Je vous en prie!

*Le rire doux et franc de l'homme résonne dans l'air et se répercute contre les murs de la maison. Dans un univers aussi sombre et aussi froid il était maintenant tres rare d'entendre un rire. Un rire véritable et puissant. Le rire d'un homme qui a vécu, le rire d'un homme qui connait maintenant la vie plus qu'il ne l'aurait jamais crut a une autre époque. Son visage est ouvert et lumineux, ses cheveux semblent léger et s'ondulent au moindre mouvement à la moindre vibration. On peut deviner un puissant poitrail sous la bure. Mais baisser son regard, c'est regretter la douce luminosité et la beauté harmonieuse de ce visage rayonnant, détonant tellement de celui plus gris du reste des gens depuis la grande noirceur.*

Sursautant quelque peu, la jeune femme se retourna et apperçu alors un homme courrant en sa direction. Regardant vivement ce qu'elle avait avec elle : son sac et son bâton enroulé dans du tissu ; elle savait bien qu'elle n'avait rien perdue en chemin. Arrivant près d'elle, essouflée, il commença à parler à demi coupé par sa respiration. Il était certain que cet homme avait besoin d'entraînement pour améliorer son cardio.

Elle posa doucement ses mains au devant de ses vêtements composés d'une superposition de trois kimonos bleu, rouge et blanc. Un sac placé en bandouillère et un long bâton bien enveloppé dans des tissus composait sa personne. Ses cheveux étaient laissés détachés et se faisaient prendre par le vent matinal.

L'ayant écouté attentivement, un sourcil légèrement arquée. C'était bien tournée comme phrase et pouvait interpellé son léger côté romantique. Cependant, c'était une facette d'elle qui ne ressortait que lorsqu'elle était seule et aussi garda-t-elle une certaine contenue devant le possiblement prêtre.

- Je cherche un lieu de connaissance et en voici un, je ne vois pas pourquoi je n'y serai pas à ma place... À moins que vous en ayez un autre à me suggérer?

Le voyant reprendre alors son souffle, elle eut un bref sourire. Elle-même s'entrainait régulièrement avec des mouvements de combats, alors oui, elle pouvait parcourrir rapidement à la marche une bonne distance alors que d'autres devraient courrir pour la rattraper.

- Je le sais, peut-être devriez-vous vous entraîner quelque peu?

Le rire du jeune homme était franc et sincère, ce qui était rare, mais agréable à entendre dans les années de cette grande noirceur.

*Quasi-instantanément, Dulgan répond sans hésiter d'une voix de conteur douce et assurée. Sa voix est habituée de raconter et son ton vibre de l'émotion de ce qu'il raconte son corps réagis et mime ce qu'il raconte.*

Ha ha ha ha ha ha!

Ce n'est pas une question d'entrainement, mademoiselle. C'est que mon coeur de cesse de vous avoir apercu ne savait plus sur qu'elle rythme dancé. La course ne l'a certe pas aidé. Je vous suivais de loin et quand je vous ai vue tourné ici. Je n'ai pus résister. Ce n'est pas dans les lieux que la connaissance existe, c'est dans le non-lieu. Je ne sait comment exprimer mon idée autrement qu'ainsi aussi vous m'excuserez.

*il se racle la gorge et commence*
hmm-hmm

*tournant sur lui même, il fait de grand geste large et léger en dodelinant de la tête comme un enfant.*

Il était une fois un jeune homme qui voulait devenir un grand poète. Le plus grand de tout les poètes. Le jeune homme tenta un premier ouvrage. Apres une semaine de travail, il s'apercut bien malgré lui qu'il ne savait rien du monde ni de sa beauté. Il ne connaissait rien du parfum des femmes et des prés. Rien de la souffrance et de la joie. Il abandonna donc son premier projet et se mit en tête de découvrir le monde. Il décida de commencer par la plus haute montagne du pays, afin de la décrire comme nul autre ne le ferais jamais.

*s'énervant un peu plus et commencant a bouger avec plus de vitesse, son visage s'illumine, il sourit a pleine dents et il regarde loin, loin devant lui.*

Il se mit en route de la montagne et apres une semaine de route il s'arrêta sur le bord du chemin. Il y vit une petite violette. Minuscule et merveilleuse, elle semblait si drôle si menue ainsi sur le chemin de sa montagne. Lui, voulait le monde et la grandeur, mais la violette elle était oubliée. Il se remit ensuite en route et termina son voyage. Puis, il entrepris une deuxieme fois son roman. Apres une seconde semaine d'écriture il s'apercu qu'il ne savait rien ni du style, ni de la forme des mots. Il ne tournait pas les phrases, il ne créait pas d'émotion par le mots.

*il fait une moue et traine un peu les pieds. Il cogne du bout du pied sur le sol regarde a terre se tord les mains*

Il décida alors de rejoindre une école de poètes. Il n'avait malheureusement pas le sous et une fois a l'entrée de l'école. Le portier le chassa sans hésiter. Il décida donc de résumer son ambition et tout ses rêves dans une phrase, une phrase toute simple qu'il écrivit sur un bout de papier et fit porter au portier. Le portier le lut et ne sachant si c'était un poeme de maître puisqu'il n'en comprenait pas le sens, il le remit au maître. Celui-ci lût la phrase et fasciné voulut voir sur le champs son auteur. Le jeune homme rencontra ainsi le maître et il discutère de sa scolarité. Le maître voyant en lui un enfant prodige voulut automatiquement de lui. Et, notre jeune homme appris ainsi la poésie. Il appris le sens des mots, le sens des phrases. Il sut comment soulevé une foule d'un simple coup de crayon. Il devint si bon qu'il devint le meilleur poète de tout son contré. Il ouvrit d'autres écoles de poésie attira tout les enfants. Il fit de la poésie la base d'un univers de paix et de joie. Rapidement, les tâches administrative le surchargère et il cessa de se consacrer réellement à l'écriture des mots, se concentrant sur les chiffres. Le maître fit souvent des remarques a son élève, lui disant qu'il n'était pas bon. Qu'il ne saisissait pas l'essence de la poésie. Que ce n'était pas pour le monde que l'on écrivait. Le maître mourut malheureux, malheureux de voir son élève surdoué réussir dans la mauvaise direction.

*il relève la tête et regard l'ido droit dans les yeux. Il s'avance vers elle continuant son récit tout en ne lachant pas son regard une seconde. Laissant la détresse entré dans son âme il l'exprime dans son regard du mieu qu'il le peut.*

Dans la force de l'âge, notre homme se décida a réfléchir sur sa carriere de poète. Il relut ses textes et s'apercut qu'il n'avait en réalité jamais rien écrit qui le toucha réellement. Il était aux yeux de tous le meilleur. Aux yeux de tous oui! mais pas aux siens et a ceux de son feu maître. C'est une blessure qui lui fit mal. Il passa le reste de sa viellesse à ignoré les jeunes élèves en quêtes de connaissance. Il ferma ses écoles. Il brûla ses receuils de textes. Il laissa les comptes aller à la débandade et les poètes amateurs partir avec le fruits de ses succès. Il fut vite oublié et les poètes amateurs eurent beaucoup de succès avec ses oeuvres. Avant même sa mort, il était de nouveau un quidam ignoré de la plupart du monde. Il était amère de voir que nimporte qui pouvait être comparé à lui et que les gens étaient incapable de le différencier car il ne faisait que dans le style.

*rendu tres proche de la jeune ido, il pose une main doucement sur son épaule et s'approche de son oreille. Lui murmurant la fin du récit comme un secret jamais révélé. Il laisse son autre main plané dans les airs juste à coté de son visage comme pour tenter de figer cet instant à l'éternité.*

Mais la fin de l'histoire est de loin la meilleure partie. C'est un peu avant sa mort qu'il réétudia à nouveau la totalité de ses oeuvres et qu'il y vit finalement la plus belle chose qu'il n'aie jamais écrite. La seule véritable chose qu'il aie faite qui pouvait le toucher. La phrase ou il avait mis toute son âme, tout son savoir, tout son désir, tout ses rêve et tout son univers. Le moment ou il avait jouer le tout pour le tout en une phrase. Ce sacrifice ultime de celui qui n'a rien et qui ne veut rien perdre. Il compris le maître qui l'avait acceuilis et le vit comme un véritable amateur de son art. Il redevint heureux et il mourut dans la nuit. Son poeme le plus court sur le coeur. Poeme qui aujourdhuis est son épithate:

*il termine en lui murmurant doucement au creu de l'oreille*
''Sur le chemin de la montagne, La beauté douce de la petite violette.''

Maintenant mademoiselle, me comprenez vous mieux?

*il tourne la tête, il est juste a coté d'elle et il l'observe encore droit dans les yeux. Son regard est brillant de la fin tragique et douce de son conte. Sa respiration est rendue lente et mesurée. Il est parfaitement en contrôle de lui. Sa main touche l'ido avec enormement de légereté. Elle se tien sur son avant-bras comme la promesse d'une douce caresse. Sa deuxieme main qui était en suspension resdescen tranquillement elle ne touche pas l'ido une seconde mais elle était si proche qu'une personne aurait pus sentir la chaleur de celle-ci qui redescend tranquillement interminablement.*

La porte s'ouvrit doucement l'être qui tenait la porte était un fait une sorte de félin sur 2 pattes. Du poil en grandeur du corps et une tête de jaguar était plutôt immanquable. Mais celui-ci semblait avoir mauvaise mine, ses oreilles étaient bien basse tout comme sont regard d'ailleurs. Pour le rendre encore plus piteux , il était vêtu de linge brun ,taché,troué et déchirer a certain endroit. Le félin fit une révérence aux humains dans l'entrée du manoir.

'' Qu'es ce que Jaldorr peut fairrre pour vous , vous dont le visage nous est inconnu. Jaldorr a une bonne mémoirrre pour ces choses la. Oh oui. '' Roulant bien ses R et lorsqu'il parle ses crocs qui sont plat et non pointu comme il le devrait était bien visible

D'un air soupçonneux l'homme jaguar regardait a tour de rôle les deux personnes. Il leva par la suite les yeux au ciel tout en glissant sa main droite sur la porte. Sa main ressemblait fortement a celle des humains mais était doté de fourrure toute fois des cicatrices étaient visible a chaque bout des doigts, ceux-ci étant cousu.

'' Alors étranger que désirrrez vous, Jaldorr ne doit pas laissé la porte ouverte sinon Maitre sera furrrieux. L'airrr de cette ville n'est pas le bien venu comme nous somme pas le bien venu a l'extérrrieurrr de ses murrrs. ''

Le rire de l'homme était décidément agréable à entendre. Il donnait le sourire à Finéalès. Son excuse sur sa forme physique était passablement ordinaire, mais la joie qu'il y mettait était touchante. Puis il raconta une longue histoire. L'écouta savament, elle se dit que c'était beaucoup de mots pour quelque chose de simple. Elle-même n'étant pas une fanatique des termes sans valeurs, elle se dit que cette personne perdait quelque peu l'exentiel en racontant ainsi avec plusieurs termes sans nécessité. Il finit par sa rapprocher d'elle. Un peu sur la défensive, elle sentai bien cependant, qu'il n'y avait rien de menaceant dans son attitude et dans ses gestes. Il était bon conteur tout de même, il fallait lui laisser cela.

La phrase murmurée à son oreille était douce et tranquille, come un baume. Il y avait dans cet être une sorte de magie bien différente ce qu'elle voyait chez les gens en général... Il se distança quelque peu et laissant sa main sur son bras, dégageant une énergie chaude et calme après tant d'énervement. Il semblait alors quelque peu différent de son entrée essoufflée.

- Ce que vous dites est bien que c'est dans la nature même des choses que l'essence de la connaissance est.

C'était bien un petit résumé en une phrase de son long discourt... Finéalès n'était pas du genre aux longues discussions par des termes futiles.

La porte s'ouvrit alors sur un homme-félin. Se tournant alors vers celui-ci, la main de l'humain retomba de son bras. Elle avait déjà entendu parler de ces créatures à demi-animale, mais ils étaient plutôt rares et c'était la première fois qu'elle en rencontrait un. Toujours calme et posée, Finélaès lui répondit.

- Je recherche depuis des lieux un endroit où la connaissance peut m'être apporté. On m'a indiqué cette maison et m'y voici.

*Dulgan n'en démord par moin. Il ressent la réticence de la jeune fille et il commence a y être habituer. Lui même à l'époque n'aurait pus être convaincu aussi facilement. La facon si simple et pourtant si vide de répondre de la jeune fille le désarconne. Il reste surpris il lui avait fait l'étalage de tant d'heures de réflexions et de tant de réalité et elle le limitait a une simple phrase totalement dénuée de réalitée.*

-Écoutez-moi un dernier instant mademoiselle. Il n'y a pas de nature même des choses, ni d'essence de la connaissance. Tout comme il n'y a pas de véritable sujet ou de style adéquat. Il n'y a que de la découverte. Si je vous offrais une rose, vous l'apprécirier pour sa beauté, la gloire qu'elle transporte et sa beauté. Mais, moi, je vous offrirais un nénuphar, pour sa sagesse, sa viellesse, sa patience éternelle et encore je n'aurait le courage de l'arracher de mes mains j'aurait honte de sacrifié pour mon propre plaisir autant d'année de patience.

*Coupé par le jaguar qui ouvre la porte. Dulgan l'observe d'un oeil savant. Il saute soudainement et crie de surprise. Il fait un pas vers l'avant et attrape d'un main agile la patte du férian. Ses yeux ouvert comme des billes il tourne la tête et parle avec beaucoup d'énergie.*

-Sur le chemin de votre savoir, ne faite pas l'erreur de ne pas observer la route. Ne regardez pas la montagne, regarder le sentier qui y mene. Prenez sa patte. Voyez les cicatrices qu'il possede. Regardez ses dents! Qu'elle horreur limé afin de l'empêcher de mordre. Regarder l'oeil du prédateur abatu, le regard du fauve soumis et contraint de craindre la vie qui l'attend. C'est l'antre de la connaissance que vous recherché? Le savoir véritable comme vous l'apellez permet a un homme de respecter une pareille ignominie? La véritable connaissance ne peut venir que de vous. Laisser-moi vous montrer la première marche.

*Ayant pris le férian par la main et pointé les différentes parties de son anatomie, il le relâche d'une douce caresse.*

-Ce sont dans les actions que l'on recconait la bravoure et la valeur. Pas dans sa théorie. Dite-moi que vous mécouterez ne serait-ce qu'un instant....

*Il la regarde d'un air suppliant et enflammé. Il parle avec la fougue et la passion d'un homme qui a déja voyager beaucoup et connu le monde sous ses différents aspects.

acquiesçant le férian allait laisser passer la jeune femme mais soudain l'homme qui était a ses coté s'était littéralement projeté sur lui et lui avait saisi la main. Une fois sa main relâcher l'homme jaguar restant sans mots la bouche entre ouverte. Son regard se portait sur Dulgan et Finélaès a tour de roule assé rapidement, il semblait épeurer a la fois amuser. Mais que ce passait-il dans la tête de cet étranger ? Jaldor aurait sans doute bien aimé avoir une explication mais peu importait , il était que le portier après tout.

Incertain de ce qu'il se passait Jaldor s'empressa de dire quelque chose, sa voix tremblait légèrement. A vrai dire Dulgan avait déstabilisé le férian , il ignorait quoi pensé de lui.

'' hum...Monsieurrrrr le barrrde Jaldorr a été aider par les hommes d'ici. Eux rrrien fairre de mal , guérirrr et lavé blessurrre. Voila pourrrquoi les cicatrices ! Jaldorr était esclave pourr un famille avant mais maintenant payer. ''

timidement il afficha un sourire , il ignorait si se qu'il disait avait même un sens après les dires de Dulgan. Nerveusement il porta donc sa main a nouveau a la poignée .

'' Vous entrrrez ou pas? '' Tout a fait incertain il observa de nouveau les deux humains a tour de rôle.

La surprise de la vue du férian était rien comparé à celle qui suivit la prestation de l'homme démontrant les blessures du portier. Celui-ci sembla vraiment mal à l'aise et c'Était compréhansible. Expliquant son douloureux passé presqu'honteusement, Finélaès regarda l'homme de façon moins jovial.

- C'est plutôt impoli d'attaquer ainsi les gens en montrant leur faiblesse et vous l'avez mis mal-à-l'aise... Pardonnez-le, je crois que la course lui a vallu un manque d'oxygénation au cerveau...

Elle s'était adressée gentilment à l'homme-félin et souriait doucement. Prenant un léger temps de réflection, elle s'adressa alors au moine.

- Écoutez, j'ai déjà voyagé beaucoup et appris beaucoup sur ce chemin vers ici. Cependant, pour expérimenter, il faut une base et c'est bien ce que j'espère trouver ici. Rien ne m'empèche de reprendre la route pour expérimenter ce que j'aurai appris. Retrouvons-nous dans un mois et je vous direz si ce que j'ai appris me permettra alors de poursuivre ma route pour expérimenter ou si je préfère rester encore pour apprendre un peu plus théorique. Le maître explique et l'élève expérimente...

Se retournant alors vers le portier, elle lui sourit à nouveau.

- Puis-je rencontrer le maître des lieux?

*Dulgan surpris lâche la main du portier et lui répond du tac au tac*

J'ai connus beaucoup d'esclaves, et de loin, je suis bien surpris d'apprendre que vous ayez survécu.

*Écoutant Finélaès attentivement il lui répond en conclusion*

Je ne trouve pas très agréable que vous vous fassié un plaisir de m'accuser d'imbécilitée. Je l'ai peut-être à vos yeux mérité. Mais, pour une chose soyez-en certaine mademoiselle. Des esclaves j'en aie vus et si vous croyez un instant que j'aie pus mettre ce férian dans une fâcheuse position, vous vous montrée incapable de percevoir l'inverse, de percevoir qu'en fin de compte il est heureux que j'ai pus détecté ses scarifications et que je suis de ceux qui veulent son bien. C'est peut-être impolis mais, trop de gens passent devant la souffrance et l'ignore alors que trop peu d'entre eux agissent réellement. Je préfère alors l'impolitesse à la politesse. C'est tel le savoir. Je ne désirerai pas vous rencontré dans un mois. Mon but est de vous aiguiller dans la vie prenez vos décisions et le jour de votre mort vous me comprendrez. Ce sont nos choix qui nous font avancer pas nos temps d'hésitations. Pardonnez-moi maintenant, j'ai a faire avec le maître de céans.

*Il pénêtre dans la demeure d'un pas vif et ignorant littéralement la jeune idop il se retourne vers le férian*

Si j'ai pus vous blesser cher amis, pardonnez-moi l'inexpérience. Je suis venus ici faire connaître ma précense. Je suis un fils d'arcturis et j'aimerais m'entretenir avec le coordonateur des festivitée.

++pense++
Pourquoi les gens sont-ils encore toujours mesquin et aggressif. Pourquoi utilisent-ils toujours la premiere pierre a leur portée pour frapper les gens de toute leur force se libérant ainsi de leur impuissance naturelle?
--pense--

Le férian plissa des yeux fixant le sol. Il releva la tête en voyant la jeune femme réprimander Dulgan. Il secoua la tête et bougeant ses mains faisant signe d'arrêter mais en vain comme elle ne le regardait pas.Après Finélaès lui demanda de rencontré le maitre des lieux.

'' Oh oui oui vous pouvez le voirrr, jaldorrr va lui dirrre que quelqu'un le demande. Veillez passé au salon je vous prrrris et...''

Mais l'homme passa directement a l'intérieur et se tourna vers lui, lui offrant ses excuses. Le félin reporta son regard au sol.

'' Oh Monsieur ce n'est rrrien vous savez...Vous n'avez pas de mauvaise intentions. Mais passez vous aussi au salon pour vous entrrretenirrr avec Maitrrre Awelgan.''

Le portier leva de nouveau la tête observant Dulgan de ses yeux félins.

'' Ne vous en faites pas , j'ai été blessé suffisamment forrrt pourrr prrrendre vos dirrre avec un sourire. ''

Jaldor ouvrit gentiment la bouche pour affiché un léger sourire.

*dulgan laisse rapidement la frustration qui l'avait prise d'un coup retombé. Il n'était du genre tres rancunier. Il marche sans dire mot. Il se demande ce qui la blessé. C'était certainement la méchanceté encore présente dans le coeur de l'ido qui se manifestait bien malgrer elle.

De toute ses rencontres Dulgan avait toujour cette surprise, l'adaptabilité de l'animal humain était surprenante. La méchanceté trouvait toujours une forme et l'animal humain trouvait toujours pour solution, une excuse ou une raison afin de se pardonner sa propre ignorance. C'était définitivement malheureux, mais ce n'était pas son combat. Il avait des choses bien plus importante à faire. Une mission incommensurable et malheureusement pour lui cela signifiait ce trouver dans ce lieu de malheurl. Cet antre de la rigidité, de la gentilesse feinte et du désir absolu de la oonnaissance. Depuis quelques années, les absolus fesait terriblement peur a Dulgan. Le mal absolu, comme le bien absolu était terrible et meurtrier. Il ne voulait plus croire en un monde de bien et de bonheur la souffrance avait déja pris trop de monde et la noirceur ambiante en était la plus grande preuve. Si l'homme était entierement doté de bonté d'âme, de douceur et de joie de vivre, jamais kerdoma n'aurait pus libéré ses ombres sur la terre. C'était la cruauté naturelle de l'homme envers l'homme qui avait laissé place a la mort. Cette fille n'était pas ce qu'il cherchait, elle n'était pas la bonté et le bien incarné dans un corps. Il ne l'avait encore jamais trouvé, mais il finirait. Il devait perseverer, il doit la trouver...a tout prix...

Se tirant de sa rêverie il se retourne vers la demoiselle et parle d'un ton mort, completement abattu par la déception*

Vous m'avez profondemment blessé. Et ce, bien plus que vous ne pouvez l'immaginez. Laisser un seul conseil entrer dans votre esprit : écoutez le monde qui vous entoure. Trouvez la violette au pied de la montagne et découvrez la beauté de la vie. Jamais, votre bonheur sera dans les paroles d'un autre. Maintenant pardonnez-moi, je ne désire plus vous parler. S'il s'agissait de la vie et de la mort d'un homme vous ne me demanderiez pas de revenir dans un mois pour en discuter de nouveau. A vos yeux, votre bonheur ne vaut donc pas la vie d'un homme. Vous n'êtes pas plus en mesure maintenant de faire un choix éclairé entre cet vie et votre bonheur. Le temps fera ce que je suis incapable de faire. Je le laisse prendre le relais.

*dulgan se retourne et commence a se demander s'il pourrait la trouver en cette demeure. Il doit la trouver, il doit résoudre l'énigme.*

*Dulgan apprécie la réponse de la jeune ido. Il entend pourtant l'inexpérience dans sa douce voix. Il entend le faux savoir qui continue a se propager partout sur la lande tel l'ombre. Un faux savoir qui se propage par l'égoisme et la méchanceté au lieu d'être fait par l'altruisme et l'amour. Une connaissance de compétitivité et de puissance au lieu d'une connaissance simplicité et de bonheur. Il se dit qu'il ferait mieux de ne pas répondre a la jeune fille. Il ferait mieux de ne pas la troubler d'avantage. Il avait déjà pénétré avec suffisament de force dans son esprit et il n'y avait pas trouver celle qu'il cherchait. Il ne devait pas déstabilisé accidentellement cette jeune fille innocente. Peut-être pourrait-il lui donner un dernier indice. Lui donner une chance de voir le monde d'un oeil nouveau et de vivre le peu de temps qu'il lui reste dans le bonheur. S'il échouait, il mettrait la jeune fille dans un doute philosophique profond et cela Dulgan le redoute. Ce n'est pas ce qu'il veut faire. Les choix lui semble toujours aussi difficile. Il lui manquait la présence dune femme. Sa douceur, sa tendresse et son affection. Sa douce chaleur qui se glisse contre lui, l'étrange sentiment qu'il n'y avait plus de doute. Une telle présence l'aiderait surement a mieux réfléchir. Mais, pour l'instant il se doit de se consacrer sur sa mission. Aller, bon, il se décide a lui répondre finalement. Apres quelques temps d'hésitation. D'un ton de nouveau calme et enjoué, de nouveau avec la voix d'un homme sortit de nulle part qui ne fait qu'attendre un évenement précis et qui patiente. Il commence avec son rire franc et assuré*

Hahaha, excuser moi. L'émotion l'a emporté. Vous cherchez des réponses, au lieu de vous poser des questions. Je prefere cesser de vous parler puisque je pourrai malheureusement détruire votre univers confortable. Ce serait un acte d'égoisme de ma part et je préfère ne pas le faire.

Suivez votre route, un jour vous me comprendrez. Acceptez que j'aie ma propre route et que tous nous ayons notre propre univers qui bien malgrer nous tend vers une destination inconnue. Nous en voyons la fin, cette étrange montagne. Bien souvent, c'est une fois au sommet de la montagne que l'on observere le monde d'en haut et que l'on s'apercoit qu'il n'y avait rien de plus beau que cet étrange violette sur notre route. Le chemin est terminer, nous sommes forcer de continuer. Jamais nous ne la reverrons, jamais nous ne gouterons de nouveau le plaisir de sa vue, si ce n'est que par notre souvenir. Si emporté que nous l'étions vers le devenir nous avons trop souvent oublié l'instant présent déja terminer. On arrive tous a destination, la connaissance viendra a vous par elle même. Ne courez pas apres, posez-vous les véritables questions. Autant cette violette est merveilleuse, autant vous êtes incapable de changer la couleur du ciel ou pouvez le faire. Mais, en rien, vous en changer sa raison d'être. Si vous pensez a l'énigme du monde, vous découvrirez bien plus que son simple nom et ses simples vertues.

Ne vous limitez pas a la connaissance d'un autre. Surpasser l'infinité de la votre. Mais, excuser-moi. Je m'emporte de nouveau. Vous n'êtes pas celle que je cherchais. Je trouverais bien un jour, celle que je cherche. Pour ce qui est de vous, je vous en prie, abandonnez-vous inconditionellement a l'amour de ce monde. Il en manque, il en manque beaucoup trop et bientot les crises seront telles que nous ne pourrons que nous déchirer.

Lorsque les ombres sont a nos portes les hommes ne pensent que d'une facon : la puissance de destruction du bien contre le mal. Moi, je veut l'amour. Par l'amour, il n'y a plus de combat entre le bien et le mal. Malheureusement, vous n'êtes pas l'amour incarné...vous n'êtes pas celle que je recherche

*Peut-être, peut-être. C'était ce que dulgan se disait. Il aimait bien cette jeune fille. La noirceur ambiante ne semblait pas encore l'avoir complêtement tachée. Mais, l'aviditée et le désir perceptible était un danger. Un danger qui pourrai un jour la mené la ou elle n'aurait voulut aller auparavent.*

*Dulgan reprend comme s'il n'avait jamais arrêter de parler*

La véritable question de notre existence c'est notre non-existence. Je vais vous raconter une deuxieme histoire si vous me le permettez. Mais, avant, nous devrons convenir de certaines règles d'inexistance. Immaginons dès aujourdhuis vous et moi que le monde tourne à l'infini. Que le monde est une sorte de cercle qui revient sans cesse a son départ.

Répondant ainsi a la question primordiale, ''qui nous a créer'' Nous sommes ici en mesure de partir dans des centaines d'abstraction irréaliste. Mais, supposons ceci : Les premiers ont créer les dieux. Les dieux ont créer les hommes. Les hommes sont devenus les premiers. Les premiers ont créer les dieux.

C'est en soi étrange, mais, ce raisonnement peut vous permettre de réfléchir a la question que vous venez de me poser avec un oeil completement nouveau. Si nous accomplissons nos actes de facon éternelle et que le bien et le mal tournent sans cesse allant et venant. Comment pouvons-nous réellement mettre nos pouvoirs au profit de l'humanité...

Admetant cette premise vos actes sont inutiles et infini. Vous pouvez dès lors vous poser de nouveau la question. Peut-être viendrez vous a la conclusion que ce cercle devrait-être brisé et que votre pouvoir est en mesure de trouver la faille infinitéssimale de ce cercle. Ou peut-être encore pourriez vous croire que cela est pour le mieux et utiliseriez votre pouvoir pour assuré la continuité éternelle de ce cercle. Ce qui est définitif c'est que la question apporte toujours un dileme.

Je vous donne ici un conseil d'expert : changer la question et peut-être changerez vous de dileme. Je me souviens vous avoir entendus poser une question tout aussi intéressante tout a l'heure. Vous cherchier, si ma mémoire est bonne. Le nom d'un champignon ou d'une plante indéterminée. He bien, si je vous donnait la réponse, je vous mentirait. Puisqu'il porte plusieurs noms.

Laisser-moi vous résumer rapidement mon parcour. Peut-être me comprendrez vous mieux. J'ai grandis sur une ferme et j'ai voulu devenir paladin. Paladin...quel rêve de justice et de droiture. J'ai tout fait pour faire respecter l'ordre jusqua ce que je me demande si l'ordre était véritablement établis. J'ai questionner mon dieu et mes questions l'ont si déranger que j'ai du m'en trouver un autre. C'est ce jour que j'ai rencontré Arcturis. Je sait que sa réputation le précède, mais, lui, était prêts à discuter. Lui, qui du haut de ses éternels banquets regarde la bataille des dieux. Ma raconter rapidement l'histoire du monde. Sa propre naissance de la main des premiers et son propre questionnement sur l'origine de ceux-ci. Réponsses qu'ils n'ont point.

Même les dieux, très chère amie, n'ont pas la réponse a votre question. Peut-être alors, devriez-vous la penser autrement. Leur poser la question c'est entendre la réponse de chacun. Vous devez aller au-dela d'eux. Posez-vous des questions et ne chercher pas leur réponse, trouver les en vous. Vous ête née de la main des dieux. Leur savoir est en vous, il ne vous attend pas a l'extérieur.

Je pourrais vous invité a passer une nuit avec moi. Je sait, cela pourrait vous sembler odieux. Mais, Arcturis m'a bien montré l'intime lien entre notre corps et notre esprit. Trop souvent, nous les séparons. Notre corps pris dans un monde terrible alors que notre esprit lui vogue dans un monde idéal. Lorsque deux être se fusionnent. Leurs corps deviennent alors un et les pensée traversent l'air a une vitesse incroyable. Les individu partagent tout dans l'abandon complet de leur corps a l'autre et de cette fusion, nait le plus beau de tout les cadeau : la vie.

Je sait combien indiscret et direct je peut semblé, mais tout ceci n'est que question d'éducation. Dans un coeur d'or on ne peut trouver de malice. Mais, je n'ai encore jamais rencontrer un tel coeur...

*Dulgan se retourne et souri largement à la jeune Ido*

- Nous oublié? C'est pour le mieux. Profiter de ces instants de calme et de repos pour méditer soigneusement mes propositions... Il faut laisser le temps aller. Le maître de maison arrivera quand il arrivera.

Vour parler encore d'immensité, de grandeur et de puissance... Laisser moi vous présenter cela ainsi. Apprécié-vous le thé? C'est une décoction fort savoureuse et plaisante. Il y a pour beaucoup de gens des bons et des mauvais thés. Et sa, je ne suis pas d'accord. Les thés sont tous égaux dans leur naissance et tous différent dans leur saveur. Savourer le thé est un état d'esprit et c'est celui qui le boit qui décide s'il est bon ou non. Dépasser l'état d'esprit actuel, le savoir n'est pas plus contenus ici qu'il ne l'est ailleurs. Le savoir est au fond de votre âme et c'est la que vous pouvez le puisé.

Les dieux, ne connaissent pas tout, chacun bien concentré dans son domaine ignore en réalité la totalité de celui de son voisin. C'est ce qui fait leur grande puissance et leur grande faiblesse. Nous sommes un pas en avant d'eux. Nous possedons le pouvoir d'apprendre et de ne pas naître avec une sagesse innée. C'est un don que nous ne devons pas gaspiller ni sous-utiliser. Nous avons le devoir de devenir meilleur, pas plus bon ni plus méchant... Meilleur... meilleur dans nos actes, nos pensée et notre morale. Et cela n'existe qu'en nous. Demain est un autre jour pour la terre comme pour l'humanité. Ne croyez pas que ce sont les dieux qui faconnent le monde de demain.

Votre main le faconne, aussi petite soit-elle. Ne vous demander plus si ce que vous faite est bon ou mal. Passer a un niveau supérieur de votre pensée, surpassé les dieux créer et solutionné des problemes qui ne sont pas les leurs. Il nous faut cesser de jouer leur jeux éternels de combats et de lutte. Leur luttes sont éternelle et pas nous. Nous devons profité de cette différence pour savourer avec beaucoup plus d'attention les détails de la création.

*S'approchant d'elle il lui chuchote*
Si nous avions a passer la nuit ici a attendre le maître. Je serait bien heureux de la passer en votre compagnie. Nous élèves d'arcturis sommes souvent bien mal vus, mais nous savons qu'il y a en réalité bien plus que le simple coit dans l'amour et la joie d'être avec l'autre. J'aimerais avoir la chance de vous massé peut-être cela me donnerait-il la chance de vous montré plus en détail l'étrangeté humaine...

Au moment même ou la jeune magus finissais de se présenté , une présence se fit ressentir dans la pièce. Finélaès elle pouvait voir des rayons magique traversé la pièces comme si un soleil était entré dans le salon mais tout s'estompa rapidement.

Une voix bien calme dotté d'un certain age avancé , débordant de sagesse s'élèva.

'' Bienvenue chez moi damoiselle Finélaès dosoushu, que puis-je faire pour vous? ''

l'homme s'avança se faisant voir. Il portait une longue toge kaki bien simple sans décoration rien, bien vide. Il portait une longue barbe bien blanche sans imperfection de couleur. Il marchait a l'aide d'une canne en forme d'éclair et le plus étonnant c'est que celle si éclairait vraiment. Un sort bien simple y était enfermer , rien de vraiment extraordinaire mais cela ajoute du mordant au design de la canne.

Il posa ses yeux bleu clair pratiquement blanc sur Finélaès mais fronça légèrement les sourcils en tournant la tête pour observer l'homme au coté de la damoiselle. Il haussa les sourcils mais afficha un drôle de sourire.

'' Bien le bonjour cher priant de Acturis , que puis-je pour vous aussi?''

Le vieillard se posa en position assise dans le vide devant les deux êtres. Il posa aussi sa canne a ses cotés et celle-ci tenait seul et semblait être bien ancré la.

*Dulgan allait répondre à la jeune dame quand le magicien fit irruption.

Il le regarde alors faire, tenant son doigt levé dans les airs comme s'il tenait a finir sa phrase. Mais, il reste bien patient et une fois que le magicien est assis et qu'il en donne l'occasion. Il fait signe d'attendre un instant au magicien et se tourne vers la jeune Ido. *


-Je doit conclure rapidement. Quel merveilleux prénom, Dosoushu. Jamais entendus encore, sa sonne comme dorloté en chuchotabt. Mais, votre humble serviteur se nomme Dulgan. Dulgan Vincavec. Mais, on me surnomme aussi ''Dulgan la chance''. Nous terminerons cette conversation plus tard en soirée si vous le désiré!


* Se tournant alors vers le magicien, il fait une longue révérence tout en style et en exagération*

Officielement Magus, Vous êtes le premier magicien officiel que je rencontre! J'adore les premieres fois, elles ont quelque chose de si...excitante! Je suis tout énervé! Veuillez m'en excuser, j'ai plus de confort aupres de la gente féminine.J'ai eu a survivre`au moins une année entiere en mer aux ordres d'une capitaine psycopathe. J'ai appris énormement! Mais, bon, pour m'en tenir au sujet de ma visite..... heu... pourquoi je suis venus déja moi... Ha oui. Je cherche la femme idéale! Qui ne connait aucune méchanceté ni noirceur dans son coeur. Pas que je veuille que vous la trouvié a ma place, j'en serait que trop décus. Mais, j'ai besoin d'un emplois durant ce temps! Vous savez, grand objectifs nécessites petits moyens financier.... Peut-être avez vous des festivité que vous désireriez organiser? Une cérémonie d'adultération? Un rite de passage?....sinon, je peut toujours couper l'herbe, je trouve sa....constructif...malgré l'état de destruction. bon, je suis en état de stresse, je dit nimporte quoi nimporte quand. Il faut me pardonner. Regarder, je me tait maintenant!

*Dulgan se tait subitement et se force pour ne pas continuer*

Le mage posa sa main dans sa barbe la parcourant comme si s'était la première fois, il était parti a la découverte. Puis pendant les dires de Dulgan il leva les yeux aux ciel et un petit sourire souleva ses poils alentour de sa bouche.

'' Haa la femme parfaite , mon pauvre jeune homme. Je vous souhaite la meilleur des chances. Si vous voulez vous rendre utile il a toujours moyen. Vous savez cuisiner? Faire le ménage? Oh mais attendez vous avez l'air jeune et en pleine forme, sinon il a toujours le coursier qui manque a l'appelle depuis que j'ai commandé de la nitroglycérine hmmm. ''

La fin de sa phrase était dit sur un ton bien humoristique. Il détourna lentement le regard pour le pausé sur Finélaès. Il prit un air un peu plus sérieux mais gardait toujours ses yeux légèrement plisser démontrant une grande joie.

'' Vous savez la meilleur façon d'apprendre est..d'apprendre. Le probleme avec l'enseignement académique est que les élèves apprennent pas tous , oh non la plupart ne fond que retenir et l'oublient aussitôt les tests passer. Mais oui vous avez cogner a la bonne porte. ''

Il glissa un main dans sa manche et en sorti une longue pipe tailler dans le bois. Elle était fort simple et il la manipulait avec beaucoup d'adresse , on devinait facilement qu'il la possédait depuis sans doute toujours.
Délicatement il porta la pipe a sa bouche , une petite étincelle fit son apparition au bout du fourneau et il commença déjà a fumé. Il semblait songeur en regardant les deux jeunes gens devant lui.

'' humf vous faites une belle paire vous deux. ''

*reprenant un peu sa contenance Dulgan laisse le maître parler et sortir sa pipe. Il en profite d'ailleur pour admirer un peu les environs et le détail de l'objet. Bien au delà des paroles on peut reconnaître un homme par ses objets s'était-il dit.*

Bafouillant un peu il reprend

- Menfin, je ne voulait pas dire de ne pas entré ici... je voulais surtout signifié ne pas venir apprendre ici. À mon très humble avis, une fleur quelconque dans un champs possède bien plus de qualités qu'une fleur assemblée dans un bouquet....Coursier! oui! sa me va! j'ai été paysan, cordonnier, charretier, marin, jongleur, croyant, élève, vagabon et clerc mais tout cela un peu rapidement. Je ne dirai pas non à l'idée ajouter coursier à cette magnifique liste. Si je peut me permettre de clarifier mon opinnion : je croit pertinement qu'en ce lieu repose beaucoup de connaissances et elles sont bien concentrée. Ce que je trouve déplorable c'est qu'avec ce concentré les gens réussissent à faire bien peu de saveur et en plus ils manquent toutes la saveur véritable de l'existence ambiante.

*prenant un instant il reprend en levant le doigt*

- Pour ce qui est de la femme parfaite ne vous en faites pas. Elle est la, tout proche, c'est simplement moi qui suis encore incapable de la voir et donc de la retrouver. Si seulement il existe encore un être qui n'est composé que d'amour, de bonheur et de respect qui aie survécu a ces ombres qui tranquillement gruge les âmes les plus douces...