Arrivée à l'auberge

Elle avait parcouru les différentes terres et landes puis, elle avait fini par dépasser les ruines. Sa quête durait à présent depuis des mois. Cette recherche d’information sur sa mère et sur ces chasseurs se révélait très ardue. Les informations se distillaient presqu’au compte –goutte.

Son humeur semblant changer avec la température, devenait donc plutôt orageuse. Étant tantôt sombre, tantôt normale, sans être joyeuse. Elle aimait lorsque la nuit tombait, le rayon de lune lui faisait penser aux étoiles, représentant la divinité Valeranne.

Malheureusement, on distinguait de moins en moins ces étoiles avec la toile d’ombre qui se tissait de plus en plus. D’où venait-elle ? , peu de gens avaient réussi à lui donner une réponse satisfaisante. Mais peu importe, cet ombre apportait avec elle un étrange état, les gens devenant de plus en plus méfiant des étrangers, quoi de plus normal cependant avec ce qui se passait.
L’inconnu effraie les gens, dans certaine mentalité peut-être que cela pourrait être elle qui apporte cet ombre, après tout, elle n’est pas humaine. Elle était tombée sur quelques Redcrats dont son impression restait pour le moment très ambigu, ne sachant comment agir avec eux. Selon ses premières impressions, valait mieux tenter de passer pour une humaine le plus possible.

Elle était à présent à l’orée de la cité de l’Eoken. L’ambiance à l’entré de la cité étais inquiétante, celle-ci la rongeait malgré elle, elle qui étais habituée à une vie paisible et heureuse, des enfants jouant et chahutant à toute heure de la journée. Puis elle entra dans la cité.

Elle s’avança alors d’un pas calme, observant les gens de son regard glacé. Certains l’observaient pouvant se demander qui était celle nouvelle étrangère en ces lieux. Peu importe, elle était arrivée à destination. Celle où les rumeurs des chasseurs l’avait amenée.

Elle regarda alors le ciel, sombre, lourd, peu engageant. Elle avait eu tellement hâte d’arriver à cet endroit en espérant avoir des réponses, choses que finalement elle n’eût point. Elle se dirigea alors vers l’auberge d’où elle voyait parfois des gens sortir. Elle vit en entrant dans celle-ci le nom : L’auberge du Cerf volant.

Une fois à l’intérieur de celle-ci, elle se dirigea vers le fond tentant de se faire le plus discrète possible afin d’écouter les conversations qu’il pourrait la renseigner sur ce qui se passait depuis quelques temps dans les alentours. Puis elle réfléchit au fait qu’elle pourrait peut-être essayer d’y louer une chambre pour la nuit puisqu’il commençait à se faire tard.

Les rires gras et fort de la milice local emplissait le petit établissement réputé pour sa nourriture infecte et sa bière encore plus que la nourriture. Malheureusement personne n'y pouvait rien depuis l'apparition des sombres nuage dans les alentour de la cité le commerce était coupé l'on ne vivait qu'avec ce que l'on réussissait a faire poussé et ce temps orageux qui ne semblait jamais vouloir en finir n'aidait pas non plus les récoltes. Tout les miliciens était assis à la même table sauf un. Étonnamment ce ne semblait pas car il semblait plus rustre ou violent, au contraire. Le jeune milicien à l'écart était habillé sous le tabard de la milice de vêtements beaucoup plus noble et tenait d'une mains ferme sa lance habillement sculpté et forgé aux armoiries flamboyante du duché de Mortollem. Les courts cheveux noir encadrant sa peau blanchâtre faisait en soit déjà contraste, mais son regard au couleur de l'acier sembler transpercer chaque personnes sur qui il se posait. Ses traits était délicat et sa musculature sans être excessive était tout de même remarquable à l'œil. Sa chevelure était soigneusement peigner rapellant ses origines nobles. Ses doigts crisper autour de sa lance démontrait qu'il était toujours aux aguets, près à se jeter dans la mêlée si une dispute débutait dans l'établissement. Selon les nombreuse conversation qui se déroulait parmi les gens attablé, les affrontement devenait monnaie courante, la tension était pratiquement perceptible au toucher. La présence protectrice quoi que froide de Lukas était d'une certaine façons rassurante pour la populace leur démontrant qu'au moins un des membres de la milice semblait avoir garder la tête froide et pourrait les défendre. Un petite coupe de vin se trouvait dans son autre mains, mais il ne semblait jamais en boire. Le simple odeur de se liquide infecte lui donnait la nausée mais lui rapellait à la fois à quel point les temps était dur pour tous. En entendant la porte s'ouvrir à nouveau il détourna son regard sur la nouvelle arrivante l'analysant de son regard perçant. Celui-ci semblait clairement dire qu'il l'avait à l'œil. Il n'appréciait pas du tout les étranger, car ceux-ci avait pour habitude de venir quérir le peu de nourriture qu'il restait. Obligeant certains a sauté des repas.

Il avait donc pu voir la nouvelle étrangère arriver. Celle –ci étant vêtue de noir, une cape à capuchon baissé sur sa chevelure de jais. Ses yeux étaient d’un bleu glacial. Son capuchon tombant alors vers l’arrière tandis qu’elle se dirigeait vers une table dans le fond de l’auberge. Une chevelure noire retombant donc en cascade sur ses épaules, semblant descendre jusque dans la chute de ses reins .Il pouvait remarquer une sorte de léger renflement à la hauteur de ses omoplates s’il avait une très bonne vision. Tout en s’assoyant elle ressentit un regard sur elle, était-ce une intuition, celle qui fait qu’on se retourne vers ceux qui peuvent nous fixer ? Son regard fut donc attiré vers celui qui semblait l’observer. Elle observa d’abord le groupe de milicien puis réalisa que l’un d’eux semblait à l’écart sans qu’elle soit tout à fait sûre qu’il soit l’un d’eux au début. Elle observa alors cet homme. Son regard se posant d’abord sur ses vêtements de milicien, prouvant qu’il n’était pas un simple paysans mais une personne sensée aider les gens de la cité. Cet homme étant très bien constitué, avait un certain charme .Une certaine prestance se dégageait de celui-ci. Elle se demanda alors s’il n’était qu’un simple milicien ou s’il avait un porte plus haut grader. Un léger sourire se dessinera alors sur ses lèvres rosées.


Puis elle remarqua alors son regard perçant posé sur elle. N’ayant pas pour habitude de baisser le regard devant un humain, homme ou femme, elle soutiendra alors son regard de son regard d’un bleu limpide, rappelant le ciel bleu qu’on ne devait pas avoir vu depuis longtemps à en juger par l’air qui semblait pesante, les gens qui semblait peut-être moins heureux. Une pensée jaillit soudain, peut-être cet homme pourrait-il mieux la renseigner sur ce qui se passait depuis des mois, alors que son périple avait commencé. Elle se leva alors d’un pas calme, sa démarche faisant légèrement onduler ses hanches, une démarche féline comme dirait certain. Elle avait un regard légèrement curieux mais légèrement défiant, ne s’en laissant pas imposer. Sa cape s’ouvrant alors laissant voir une robe noire à mi cuisse, ayant de fine bretelle, mettant son corps en valeur. Son sac restant accroché dans son dos, contenant peu de matériel, semblant léger. Elle marcha jusqu’au milicien, s’arrêtant alors à environ 1 mètre de lui.
Son regard se fit alors moins défiant, sachant que si elle garderait cette attitude, elle n’obtiendrait aucune réponse, pire que cela même, elle pourrait se le mettre à dos, chose que pour l’instant elle était loin de vouloir, alors qu’elle arrive en étrangère en cette ville dont elle ne connait point les règlements.

Puis elle s’adressera alors à celui-ci dans une voix douce, et sincère, ne dénotant aucune malice.

-Bonsoir, tout en observant les gens autour, elle se demanda si il y avait un protocole ou non, et si les gens allait voir directement les miliciens afin de leur exposé leur requête ou simplement leur demander diverses choses.

-J’ai ressenti votre regard sur ma personne, et celui-ci ne semblait pas si amical, je me demande pourquoi,, observant alors sa réaction à sa question puis elle enchaînera alors sur son autre préoccupation

-Puis j’aurais une requête à vous demander, auriez-vous des informations sur ce qui se passe à l’extérieur, toutes ces ombres et autres qui amène un vent de mauvaises choses.

Elle attendit alors qu’il lui réponde, son regard frangé de longs cils noir, encadré par sa chevelure en cascade noire, mettant son regard en valeur. Un regard un peu curieux posé sur l’homme.

L'homme perçut le renflement dans le dos de la jeune femme, mais sans y porter vraiment attention. Il était normal pour une étrangère d'avoir un sac de voyage et pour éviter tout ennuie avec les bandit il était certes mieux de le cacher sous une cape. Cependant, lorsqu'il commença enfin à se décider de relacher son regard sur elle, il vit que ces yeux azure se levait sur lui avec un certain air de défi. Une femme qui plus est, une étrangère, osait garder un regard haut sur un homme. Il serra un peu les dents et la regarda durement. Certes elle était d'une beauté que ni lui ni d'autre pourrait négliger, mais elle se comportait comme une souveraine en ces lieux et ce n'était point le cas. Elle une faible femme, qui par devoir, ne servait guère plus qu'à engendrer, faire le ménage ou s'occuper des enfants. Ses doigts se crispèrent encore plus autour de sa lance, mais continua à se la décrire visuellement. Sa chevelure de Jais qui se répandait tout le long de son corps lui rapellait celle de sa mère. Ces mains délicate, ne semblait pas avoir était abîmer par le travail de la terre, ce qui lui prouvait qu'elle n'était pas une paysanne. Peut-être n'était elle qu'une simple marchande mais alors pourquoi le regarderait elle avec un tel air de défi. Ses habits la rendant si attirante ne pouvais venir d'ici, car aucune femme n'oserait tenter l'homme au pécher, aucune sauf les femme de joie. Cependant ceux-ci se devait de porter une tenue au couleur voyante pour avertir les hommes et femmes de son statue de femme de rue. Alors serait elle une délinquante ou pire une envoyer du malin pour attirer les faibles brebis au pécher. Puis vint les paroles qui sortirent de la bouche de la jeune femme. Certes venant d'une jeune paysanne ceux-ci aurait surement était bien perçut mais venant d'une étrangère qui semblait l'envoyer même du malin cela la rendait encore plus suspecte. Déposant son verre lentement sur la table sans la quitter des yeux il tendit sa mains vers elle sans pouvoir l'atteindre vu la distance qui les séparait et serra le poing.

+++ Télékinésie +++

D'un coup une force invisible sembla attraper le devant de la cape de la jeune femme pour refermer les pan de ceux-ci pour cacher son corps tentateur. Son regard d'acier se planta dans le sien et d'une voix autoritaire il rétorqua sur le champs à la jeune femme.

- Femme baisse ton regard quand tu parle à un homme! ne connais tu pas les bonne manière!

À la fin de chaque phrase il frapper le plancher avec le bas de sa lance pour faire un bruit dure et intimidant pour appuyer son autorité. Puis, d'un mouvement de tête il lui fit signe de prendre place devant lui.

- De plus créature tentatrice cache cette chair maudite ou je me verrais dans l'obligation de demander à une coturière de te coudre les pan de ta cape pour que tu ne puisse user de ton charme sur les pauvres âme pécheresse que nous somme. AI-JE ÉTAIT CLAIR !

Il abbatit finalement une dernière fois le bas de sa lance sur le plancher avec force. Son regard percant était river sur elle pour l'intimider et la forcer à baisser son regard en sa présence. Tout ces gestes malgré leur rudesse était empreint d'un certain code de l'honneur. Car aucun autre garde ne se serait surment plein sur la tenue de la jeune femme. Bien au contraire.

Tandis qu’elle marchait vers l’homme, elle sentit tout à coup sa cape se refermer toute seule. Son regard se fronçant alors. Son regard glacé posé sur l’homme, elle réalisa que c’était lui qui semblait avoir fait cela. Des questions lui vinrent alors à l’esprit, comment pouvait il faire cela, était il humain ou bien d’une autre race ? Plusieurs questions se bousculaient dans sa tête. Elle avait vu son regard se durcir lorsqu’il avait aperçu sa robe, certes elle n’était pas longue, mais elle était très pratique pour se mouvoir aisément et faire des mouvements rapides. Elle aurait bien mis un pantalon comme les hommes seulement, elle n’en avait jamais trouvé à sa taille et puis, les femmes ne portaient que très rarement ce genre de vêtements. Jamais elle n’avait eu ce regard qui semblait l’accuser de tous les maux du monde. Ce n’était qu’une robe bon sang !

Puis lorsqu’il s’adressa à elle, d’un ton arrogant, en se prenant pour son maître, comme si elle devait se prosterner à ses pieds, lui parlant comme si elle était d’un rang inférieur seulement parce qu’elle était une femme, elle prit une grande respiration afin d’essayer de se calmer.

Pensant pour elle-même que cela lui faisait l’effet d’un homme qui essaie d’impressionner par tous les moyens, parce qu’il veut intimider la personne qu’il veut soumettre à son emprise. Sa mère l’avait élevé en lui disant de ne jamais devenir soumise à un homme ou bien de faire semblant afin d’endormir sa méfiance. Elle n’avait jamais connu son père, mais la façon dont sa mère lui parlait des hommes, à savoir qu’elle leur était inférieur presqu’au même rang qu’un animal, la révoltait. Pour faire exprès, celui-ci un milicien lui parlait ainsi lui fit comprendre que peut-être n’était il qu’un homme peu ouvert.

Puis il put voir son regard devenir de plus en plus glacial, ses yeux semblant briller de colère sous ses paroles. Mais avant de lui répliquer, elle accepta l’invitation à prendre place devant lui. Il put cependant remarquer qu’elle ne semblait pas pour l’instant intimider par son coup de bâton, son regard semblant quelque peu amusé.

Elle dit alors d’une voix calme mais froide, alors qu’auparavant sa question avait été posée sur un ton normal, sensiblement chaleureux.

-Je connais les bonnes manières, on me les a apprises durant mon enfance, cependant, on m’a aussi dit de ne jamais me sentir inférieur à un homme car j’étais une femme.

-Vous avez bien du remarquer que j’étais étrangère en ces lieux… vous parlez de bonnes manières, mais n’oublier pas que les us et coutumes sont différentes selon chaque endroits ainsi je n’ai point voulu vous offensez ou qui que ce soit…

Il pouvait réaliser que ses paroles l’avait piqué au vif car elle ne cessait de lui exposait son point de vue, s’il essayait de couper sa parole avant qu’elle ait fini elle lui enlevait cette chance, laissant libre cours à sa façon de penser.

-De même que, je ne crois pas être une créature plus tentatrice que d’autre, ma robe étant pour moi utile et pratique, oui elle est courte je ne le cache pas, cependant elle m’aide beaucoup à me mouvoir rapidement, n’entravant aucun de mes mouvements si j’ai à me défendre.

Puis son regard semblant alors devenir amusé.

-Vous me faites sourire, vous nous traiter comme des objets, nous devrions baisser le regard lorsque vous nous parlons, mais nous sommes assez fortes pour corrompre vos âmes de pécheurs il faudrait vous décidez, soit nous sommes faible, soit nous sommes fortes … mais peut-être n’est ce que moi qui pense cela…

Puis son regard redeviendra normal sans être défiant ou autre, simplement comme tous.

-J’essaierai cependant de trouver d’autres vêtements si cela peut vous faire plaisir, je ne voudrais pas vous créer de problèmes … Si vous pouvez m’indiquez à quel endroit le faire bien sûr.

-Mais pour en revenir à mes questions à savoir ce qui se passe dans la cité et aux alentours, pouvez vous me renseigner ? Son regard se faisant alors curieux, plutôt serein, il pouvait ainsi voir qu’elle semblait assez jeune, 17 ans, 18 ans maximum.

-Mais s’il fait que je baisse le regard pour que vous répondiez à mes questions, je peux bien le faire…

Elle baissera alors le regard, mais le regardera à travers ses cils, son regard semblant plus chaleureux, beaucoup moins froid même.

Son regard ne sembla pas changer malgré son insolence et ses manières. Il ne semblait pas agir comme cela pour l’intimider car elle était une femme, mais plus car il agissait toujours de cette façons face à n’importe qui venant à aller a l’encontre du protocole. Il cessa d’agripper la cape de la jeune femme quand elle s’assit ne pouvant plus voir ses jambes tentatrices. Puis son regard froid toujours plonger dans ses yeux il l’écouta sans rien dire, prouvant un certains respect en la laissant parler malgré son insouciance et son impertinence. Quand elle eut finit il alla se replacer une mèche avant de se remettre à parler d’un ton dur et froid, comme si cela n’était que le seul ton qu’il avait.

- Si vous avez appris les bonnes manières mais que vous les ignorer cela ne prouve qu’une volonté de malfaire. Par la suite, si on vous a appris à défier les hommes cela prouve que vous n’êtes pas née redcrats mais d’une autre peuple. Cependant, en ces lieux si vous voulez survivre, surtout en ces temps dure et tendue, vous devez agir selon les us et coutume du peuple supérieur. Alors je vous conseillerai de les apprendre rapidement si vous ne voulez pas être lynché par le peuple ou la milice car vous serez considérer comme une envoyer du mal venant de la zone de ténèbres aux alentours, pour tenter d’attirer des âmes innocente à leur mort.

Puis, il fit une pause et reprit sa coupe pour regarder son contenue infecte et le fit tourner dans son verre en le regardant. Il resta comme cela durant un moment, avant de ramener son regard sur elle et de la dévisager à nouveau.

- Vos habits sont tentateur car la chair est faible étrangère et qu’en laissant voir votre peau aux yeux de tous vous ne leur donnerais que le goût de commettre l’irréparable et en ces lieux cela ne vous aidera nullement a vous défendre car sous la tension présente bien des hommes ont été corrompu par le mal et tenteront de porter atteinte à votre honneur et à votre dignité.

Rien dans son regard ne montrait un quelconque désir. Malgré que son regard était plonger dans le siens il semblait regarder à travers elle, comme si celle-ci serait transparente.

- De plus vous n’êtes pas celle qui sont forte, mais vous êtes ceux qui avait commis le pécher ultime et qui avait fait exiler l’homme du paradis. Alors le démon ayant déjà réussi à nous corrompe par vos courbe tentatrice, continue toujours de vous donner de son vice pour nous attirer nous aussi dans le pécher.

Puis il prit lentement une gorgée avant de regarder le contenu avec son regard habituel mais avec une certaine once de dégout qui paraissait dans celui-ci.

- Finalement, ce n’est pas en vous moquant de la personne a qui vous posé la question que vous aurez les réponses a vos question. Mais bon, au cas où vous ne vous en seriez pas rendu compte, les alentours de la ville ont été entouré d’une zone ténébreuses que nul ne semble apte à passé. Nous ne savons pas si de l’autre coté de cette zone, il reste des gens en vie ou si tout a été ravagé. De plus, cette zone nous ayant coupé des autres villes à créer un certains manque autant dans nos victuailles, que dans notre boire. Tout ces facteurs plonges le peuple dans un certains état de panique et d’anarchie que nous devons gérer. Sachez que cela aussi à causer une sorte de chasse au sorcière face au étranger les accusant de tout les crimes même si cela n’a a mon avis avoir aucun lien.

Son regard malgré dure semblait sincère. Il était l’une des rares personnes qui parlait encore aux étranger et encore plus qui les protégeait de la panique environnante. Il détestait certes les autres races, mais en étant en ces lieux c’était son devoir de les protéger durant leurs séjours.

Elle écouta alors le milicien, prenant une grande respiration, son regard ne semblant pas énerver du tout.

-On ne m’a pas apprise à défier les hommes en tant que tel, mais plutôt de ne pas me rabaisser à eux, il y a la une certaine nuance, je n’ai pas délibérément ignorez les bonnes manières, seulement chaque endroits est différent, chez moi les elf puis se taira rapidement en ayant déjà trop dit selon elle, chez mon peuple les choses sont différente. J’ai été par ma mère et je n’ai jamais connu mon père, ainsi disons que ma mère m’a élevée d’une certaine manière. Si vous voulez bien m’expliquez ce que sont ces us et coutumes, je les respecterai, seulement ne me demandé pas de changer complètement celle que je suis.

Sa voix étant douce, aucunement arrogante, il peut voir en elle une certaine volonté de faire en sorte de ne pas le provoquer. Le regardant cependant faire tourner le vin dans sa coupe ainsi que son regard de dégout. Un regard un peu curieux l’observant, se demandant si c’est si pire que cela, n’ayant jamais gouté à ce liquide.

-Je ne suis point une envoyée du mal , et pour l’instant, je n’ai que faire du plaisir de la chair, mon but étant tout autre , je n’ai pas chercher à être tentatrice, à mon arrivée, ma cape était fermé , mais s’est quelque peu ouverte alors que je m’avançais vers vous, je n’ai pas voulu vous offensez ou tenté de séduire qui que ce soit ici. Seulement à certain moments ces vêtements tentateurs, aident à obtenir certaine réponses …

-Mais merci de vous inquiété de mon honneur et de ma dignité, voilà qui est rare de la part de certains hommes, dit-elle sans le provoquez, mais constatant simplement un fait.

Elle soutiendra cependant son regard tout le long n’ayant que peu à cacher, son regard très clair, il pouvait voir en elle une personne qui pouvait être douce mais aussi dur lorsqu’elle était énervée. Ses changements d’humeur rapide semblant le démontrer.

-Je suis désolé si vous avez senti une certaine moquerie, cependant vos propos m’avait hérissé si l’on peut dire, ainsi j’ai répondu selon ma conscience, peut-être n’aviez vous point voulu être arrogant, cependant je l’ai pris comme tel.

-Ce péché dont vous nous accusez dépend du dieu auxquels vous croyez, cependant je n’entrerai pas dans une discussion de théologie cela ne serait que compliquez davantage les choses. Mais sachez que pour corrompre une personne, il faut aussi qu’elle le veut, à ce que je sache, le pouvoir de décider est en chacun de nous. Cette femme n’a pas forcé ou tordu un bras afin de le convaincre… il l’a fait parce qu’il le voulait bien …

Puis elle changea alors de sujet comme si rien n'était .

-Je m’étais bien sûr rendu compte de cette zone, je suis sensible à ce genre de chose. Cette zone, il y a un certain temps que je passe à travers, mais le plus rapidement possible car je déteste cette impression de me sentir peu joyeuse. Si je suis ici, c’est car des rumeurs m’ont amenée à croire que certaine personne que je recherche se trouverait peut-être en cette cité.

-Je ne suis pas ici pour vous prendre votre nourriture, j’en ai apporté un peu sur moi en sachant que je ne m’arrêterais que très peu dans les villes. Je ne recherche surtout qu’un endroit où je pourrais dormir et me reposer, ce que cette auberge m’a semblé pouvoir offrir. Je tenterai de me faire le plus discrète possible afin de ne pas vous déranger dans votre travail.

-Je suis désolée encore une fois pour le ton que j’ai eu à votre égard, mais il pourra remarquer qu’elle a de la difficulté à baisser le regard, trop habituer à regarder ses interlocuteur dans les yeux, pour elle cela surtout une marque qu’elle s’intéresse à lui. Non un manque de respect.

Son regard étant sincère, il n’y a aucune défiance dans son ton seulement un désir de faire la paix avec celui-ci.

-Si vous pouviez me conseiller un endroit où trouvez des vêtements qui sont de coutume porter ici par les femmes, cela m’aidera en premier à mériter votre respect je crois. Puis si jamais je peux vous aider en quoi que ce soit, cela me ferait plaisir bien sûr…

Puis quelque chose semblant bougé dans son dos sous sa cape, un léger bruissement se faisant entendre malgré elle. Celle ci mordillera alors sa lèvre inférieure tout en espérant que celui-ci n’ait rien entendu ou remarqué.

Lukas l'écouta parler sans rien dire. Son regard toujours aussi dur braqué sur elle comme le fer froid et meurtrier de la pointe d'une lame. D'un mouvement machinal il se replaça les cheveux, tout en continuant d'écouter la jeune femme. Certes elle s'avait bien se défendre pour une être inférieur mais cela ne changeait rien au fait qu'elle était différente, une simple bête parmi les hommes. Puis, son regard changea du tout au tout, passant de froid et dur, a haineux et meurtrier. D'un seul bond il se leva de sa chaise il alla la gifler durement du revers de sa mains et tenta ensuite de la prendre par la mâchoire pour la forcer à le regarder.

- Sache qu'il n'existe qu'UN SEUL et UNIQUE dieu, blasphématrice ! Tu n'es qu'une bête en cette ville une abomination qui rampe sur ces terres pour nous aider nous les enfants de l'éternel ! Alors ne pousse pas ta chance si tu tien à garder ta langue et ta vie ! Je t'épargnerai ce supplice cette fois, car de te punir en ces temps trouble ne ferait que créer le chaos au sein de la cité ! Mais sache que je ne tolèrerai plus aucune blasphémassions, suis-je clair!

Sa voix était dur, tranchante et à la fois parler entre les dents pour éviter de crier et d'attirer trop l'attention sur eux ne voulant pas que ces collègues rapplique pour s'amuser ou que des villageois s'en prenne a elle par crainte de ce qu'elle est. À la fois il semblait la détestait la mépriser et d'une autre façon semblait vouloir la protéger. Puis, parlant sur le meme ton il rajouta.

- Pour les vêtements tu n'aura qu'a me suivre je t’escorterais jusqu'a un couturier qui saura rester muet sur ton apparence pour éviter de créer la panique. Mais sache que maintenant, plus que jamais, je t'ai à l’ œil. Car par ton blasphème et par tes dires sur le fait que tu réussi à traverser la zone noir d'où personne n'as sut revenir, pourrait fortement laisser à pensé que tu es d'une quelconque façon responsables de ce qui se passe ici. Ai-je était assez claire MADAME !

Suite à ces geste les miliciens cessèrent de parler et allèrent porter mains à leur pommeau et s'apprêtèrent à ce lever avant que Lukas tendes sa paume de mains vers eux en signe de rester assis. Puis, il dit de sa voix dur et froide qu'il avait habituellement et à voix audible par tous ceux dans l'auberge qui avaient fait un grand silence.

- Ce n'est rien ... cette ... femme... a juste besoins d'être dompté.

Le petit groupe de milicien se mirent à rirent avant de s'assoir de nouveau recommençant à rire et a boire. Tous et chacun dans l'auberge semblait retourner à un train de vie normal comme si rien d'important venait de se passé. Comme si, un agissement de la sorte de la part d'un homme était devenu banale dans cette ambiance tendue.

La jeune femme tandis qu’elle parlait, avait remarqué le regard changeant de l’homme. Mais puisqu’elle avait commencé, il fallait finir. Lorsqu’il viendra pour prendre son menton, il pourra voir son regard devenir de plus en plus glacial, d’un bleu très clair. Elle l’empêchera de la prendre par le menton en reculant la tête.
Puis son regard semblant s’enflammer alors qu’il parle qu’elle est blasphématrice.

-Je ne suis pas blasphématrice, dit elle dans un murmure, je ne connais point votre Dieu, l’Éternel comme vous dites, chacun ses croyances, je ne vous force pas à croire en Valeranne, n’essayer donc pas de me convertir au vôtre … Et il n’existe pas qu’un seul dieu ! Vous avez déjà sorti de cette cité ? Si non il est temps, bon peut-être pas en ce moment ci mais plus tard…

-Ensuite, nous ne vous sommes pas inférieures, sans nous, vos lignées s’arrêteraient, les femmes sont toute aussi importantes que les hommes. Nous ne sommes pas des bêtes …

Il pouvait voir dans son regard, dans son ton enflammé, qu’elle était une femme passionnée, s’enflammant facilement lorsque des sujets lui tenaient à cœur. Elle était très souvent impulsive. Chaque fois qu’elle redevenait plus douce avec lui, il semblait la provoquer à chaque fois.

-Traverser ces ombres, c’était une façon de parler, je suis passée à travers, car là ou j’habitais, les ombres y arrivaient déjà. Je voyage depuis quelques mois pour diverses raisons personnelles. Je n’ai pas été avant les ombres et passant à travers tout le long pour arriver ici. Elles m’ont suivi et on finit par me dépasser simplement, et j’ai fait le plus vite possible pour me rendre ici afin de ne pas être engloutie par elles. Je vous l’ai dit, je n’aime pas du tout ces ombres, elles me rendent mauvaise, différente. Je ne suis donc point responsable de celles-ci. Je n’ai pas un tel pouvoir…

Semblant alors réfléchir, elle sourira quelque peu.

-Vous voulez m’avoir à l’œil, m’aider à choisir des vêtements afin d’éviter que mon corps, oh combien tentateur et provocant semblant légèrement cynique ne vous fasse perdre votre salut, oui elle le provoquait, seulement elle avait mal pris le fait qu’il traite les femmes d’inférieur


Puis une fois qu’il avait haussé le ton, et rendu silencieuse la pièce, n’ayant pas regardé les autres miliciens, seulement celui-ci. Il pourra l’entendre respirer en prenant de grandes inspirations.

Puis l’entendant dire dans l’auberge qu’elle a juste besoin d’être domptée, elle aura beaucoup de difficulté à garder son calme. Lorsque les voix recommenceront à se faire entendre, il pourra entendre un léger bruissement d’aile semblant provenir de la jeune femme.
Elle se lèvera alors, s’approchant de lui, s’arrêtant, puis dans un murmure lui dira :

-Vous dites que j’ai besoin d’être domptée, serait ce que vous vous y proposer ? Votre vie doit être ennuyante pour que vous vouliez vous occupez personnellement de ma petite personne. Vouloir aussi m’avoir à l’œil… serait-ce par hasard que je pourrais vous intéresser ? Moi étrangère que je suis ?

Puis un sourire amusé, sans être provoquant se changera en un rire doux, caressant à l’oreille, se moquait elle de lui ? Pas vraiment, elle avait trouvé un adversaire qui lui faisait sentir pleinement qui elle était, et il y avait bien longtemps qu’elle n’avait trouvé une personne qui pouvait ainsi la provoquer.

Pensant pour elle-même : Je viens probablement de signer mon arrêt de mort, mais au moins j’aurai pu m’amuser un peu, me changer les idées avec tout ce qui se passe dernièrement.

Il pourra donc la voir lui tourner le dos par la suite, la bosse dans son dos n’étant pas dû à son sac qu’elle tient en bandoulière. Sa cape qu’elle aura gardée fermée sur son corps semblant la mouler comme dans un fourreau. Sa façon de marcher démontrant très bien sa confiance en soi, volontaire mais aussi à moins que ce soit une imagination fertile, une certaine fragilité. .Son capuchon étant donc baissé, sa chevelure noire comme l’onyx, cascadant dans son dos, en une masse un peu bouclée en certain endroits. Elle se dirigera alors vers l’aubergiste sans sembler attendre sa réponse. Puis elle continuera vers l’aubergiste qui est derrière son comptoir.

Le regardant alors d’un regard curieux et lui demandant s’il avait une chambre de disponible. Tout en s’attendant d’un moment à l’autre à la colère du milicien qui risquait d’être passablement inquiétante. Mais il était trop tard à présent.

Lukas sentit la rage montait en lui, comment osait-elle, elle une créature non-humaine, le provoquer de la sorte. Elle se comportait comme toutes les autres étrangères, comme des êtres supérieur aux enfants de l'Éternelle. De plus, elle osait à nouveau de dire qu'il y avait d'autre dieu que l'Éternelle. Cela n'était que blasphème, est méritait punition. Cependant, il sentait en lui un certain attrait pour la jeune femme, mais pourquoi? Elle était une blasphématrice, une non-humaine, une provocatrice et une tête de mule. Alors pourquoi d'une certaine façon prenait-il plaisir à leur confrontation. Certe, il était rare qu'une jeune femme tienne tête à un homme et de plus que cette jeune femme en question mette sa vie en péril pour protéger ses conviction et ses coutumes. Il secoua vivement la tête et murmura à lui même

-Père qui êtes au cieu, protégez moi du mal qui souille cette terre et donnez moi la force de résister à la tentation, pour que votre volonté soit faite sur terre.

Lentement il fit un signe de croix, durant cette brève prière, son visage était devenu détendu et calme, c'était la seul façons pour lui de se libéré de ces chaînes du passé. Son regard redevint par la suite dur, et d'un pas lourd, il approcha d'elle pour lui saisir le poignet, enfoncant ses doigt fin dans sa chair. D'un mouvement vif il la força à se tourner et lui ramena au visage une seconde giffle du revers de la mains avec grande force, avant de la saisir par le menton crispant ces doigt sur la machoir fine de la jeune femme. Il lui tourna le visage vers lui pour qu'elle le regarde dans les yeux. Son regard était rempli de haine et il dit d'une voix authoritaire.

-Ce n'est pas la femme en toi que je traite de bête mais la non-humaine ! Tu ose-toi une simple bête te comporter de la sorte et blasphemer dans nos cités. Alors comporte toi en bonne femme, soit docile est repend toi au seigneur tout puissant, aussi non sache que tu risque de ne pas vivre longtemps dans ce millieu qui peut à peut se fait emparer par le chaos et la peur.

Sa voix authoritaire était basse pour ne pas que les autres l'entende la traité de non-humaine. Encore une fois, il la protégeait, mais pourquoi ? Il risquait lui même de s'attirer des ennuies en cachant l'identité de cette jeune femme et peut-être que le peuple ne sombrerait pas plus dans le chaos après l'avoir immoller ? Mais il ne pouvait pas prendre ce risque, de plus il la savait innocente de la zone noir et il ne pouvait pas, en bon croyant, permettre que l'on punissent une innocente. Puis, sans lui laisser le temps de répondre, il l'entraina derrière lui en lui tenant toujours le poignet jusqu'a sa chambre qu'il avait louer pour son séjour ne tolérant le barraquement et les spéculation obscène qui s'y échangeait sans cesse. L'entrainant à sa suite, il la fit entrer dans sa chambre et referma la porte pour la regarder avec haine. Il ne dit rien et ne faisait que la regarder attendant de voir ce qu'elle aurait a dire pour sa défense ... mais au moins a prèsent il était tout les deux seul et ne risquerait pas d'attirer l'attention des autres, plutôt il ne risquerait pas d'attirer PLUS l'attention des autres.

Alors qu’elle demandait à l’aubergiste, elle sentit le milicien lui prendre vivement le poignet et la retourner vers lui en lui donnant une gifle qu’elle ne put éviter car elle ne s’y attendait pas du tout du moins à une gifle. Il pourra donc voir sa peau très clair devenir rouge, sa main s’étant étampé, laissant des traces rouges où elle a été giflée. Il pourra voir un regard plus ou moins meurtrier, se dessiner sur son visage. Il pouvait y voir à présent une certaine haine du fait qu’il avait levé la main sur elle. Elle s’attendait oui à ce qu’il soit en colère, mais de là à s’avancer et prendre la peine de la gifler, afin d’exprimer son autorité, il y avait bien d’autre façon. D’où venait la merveilleuse idée de giflé une personne afin de la soumettre. L’orgueil ?

L’écoutant parlé d’elle en tant que non-humaine, de bête, la faisait s’énerver encore plus. Il pouvait la sentir trembler de colère puisqu’il tenait son poignet. Elle ne semblait plus y penser pour le moment. Elle vint alors pour répondre à celui-ci mais celui-ci ne lui en laissant pas le temps, il l’entraina à sa suite en la faisant entré dans une chambre afin qu’ils soient seul dans la pièce.

Voyant qu’à présent qu’ils sont seuls, elle laissera alors tomber sa cape, dévoilant ses ailes, celle-ci étant légère, légèrement translucide tel un voile. Elles sont de couleur noir, et d’un camaïeu de bleu. Son regard bleu très clair presque blanc le fixant. Se retrouvant par la même occasion à nouveau vêtue de sa robe noire à bretelle, à mi-cuisse, épousant parfaitement ses courbes.

Elle parlera alors d’un ton glacial, à voix basse tout autant, son discours étant quand même calme.

-Ma partie elférique n’est pas une bête… , je suis en partie humaine physiquement, j’ai l’air de me comporter en bête pour vous ? Si je ne vous avais pas dit que je n’étais pas totalement humaine, vous l’auriez su ? Je ne crois pas. Je ne suis pas tant si différente de vous … ,ses ailes battant légèrement, contente d’être libre de toute entrave.

-Vous voudriez que je me repente de ne pas croire en votre Dieu et que je préfère croire au mien… Je ne connais pas le vôtre, j’en ai entendu parler mais sans plus. Me repentir au vôtre alors que je n’y crois pas serait de la trahison non ? Envers celle en qui je crois. Et me repentir à une divinité qui ne représente rien pour moi serait de l’hypocrisie, surtout que ce ne serait que pour vous faire plaisir. Mon Dieu n’essaie pas de faire se convertir les autres personnes à elle, chacun est libre.

-Je suis une bonne femme, et non une femelle comme les animaux…, les animaux ne sont pas tous docile. Les femmes ici vous sont-elles toutes soumises ? N’ont-elles aucune personnalité ? Je ne puis être docile comme vous le voudriez, je ne suis pas ainsi, désolé de vous décevoir. Si je serais docile je finirais par dépérir, et cela n’aiderait pas à ma quête. Je ne suis pas ici pour rester, j’ai mes propres buts que je poursuis. Vous croyez que si j’étais docile je serais encore vivante ? Que je serais ici à vous tenir tête ? Probablement que non, j’aurais été faite soit captive, soit tuée par ces chasseurs, mot qu’elle prononcera avec une certaine haine, il pourra voir qu’elle les hait plus que n’importe qui.

-Vous dites que je risque de ne pas vivre longtemps ici si je ne me repends pas, croyez vous que cela m’effraie en tant que tel ? Je ne sais pas si la seule personne qui me reste, ma mère, est toujours vivante ou non. Je suis donc à sa recherche, si je meure, elle pensera que je me suis faite avoir ou bien autre chose. Votre Dieu semble être de ceux qui punit toujours, pas de ceux qui aime et pardonne…, pardonnez mon insolence, seulement je préfère croire en Valeranne qui ne punit pas ainsi ses croyant ou non-croyant. Le Chaos et la peur sont partout.

Elle s’avancera alors face à lui le regardant dans les yeux. N’ayant aucun mouvement brusque.

-Qui de vous ou moi ressemble le plus à une bête ? Vous qui sans cesse ne cessez d’essayer de me gifler ? De laisser libre cours à votre colère par la violence ? Ou bien moi qui argumente et dit ce que je pense, en restant plus ou moins calme sans essayé de vous frapper ? N’est ce pas les animaux qui se battent entre eux pour montrer qui est le chef ?

Sans cesser de le regarder, elle penchera la tête de coté, ses cheveux retombant le long de son corps. La marque de sa main ayant commencé à disparaitre. Signe de la violence qu’il a eu à son égard.

-Vous croyez que cela fera que je vous écouterai plus ? Que je serai plus docile ? La violence engendre la violence rien de moins. Allez y, giflez moi.. Seulement cela me confortera dans l’idée que vous laissé votre coté sombre, bestial sortir. C’est plus facile de se faire imposant en rabaissant une personne, en tentant de l’asservir.

Puis elle restera là, face à lui, sans le regarder de façon provocante en tant que tel, mais d’un regard qui semble tenter de lire en lui, comme si elle chercherait à voir plus loin que l’homme qui se montre à elle, de voir qui il est vraiment, intérieurement.

Lukas la regarda se débarasser de sa cape pour laisser couler ces long cheveux noir sur ses courbes alléchante et mise en valeur par ces vêtements provocateurs. Cette créature était surement une envoyé de dieu pour tester sa droiture face à une telle créature tentatrice. Mais était-ce vraiment une envoyé de dieu ou plutôt une du diable vût tout les blasphème qu'elle ne cessait de dire face au seul et unique ... face à l'Éternelle. Puis lorsqu'elle parla de chasseur, il se retourna et alla mouiller un petit linge dans l'eau d'un petit sceau et alla posé ce linge humide et frais sur la joue de la jeune femme pour calmer la douleur qui devait surement lui parcourir celle-ci après la giffle qui lui eut donné. Étrangement malgré que son regard était toujours froid et dur, ces mouvement semblait plus délicat et il tint le linge humide sur la joue de la jeune femme jusqu'a ce qu'elle vienne tenir elle même le linge en place.

- Cessez de dire des idioties il n'y a qu'un seul et unique dieu, seul l'Éternel veille sur nous votre Vallérane comme vous l'appellez abuse de votre crédibilité ... car ... soyez honnête si votre Valéranne existait vraiment ... pourquoi aurait elle laisser pratiquement laisser tout ses priant être emporter par la brume sombre ... et que étrangement seul la ville protéger par l'éternelle semble tenir cette brume à l'écart ? De plus l'Éternelle est miséricordieux et pardonne à tout les pécheur qui se repente ce qui ne semble pas être votre cas.

Lorsqu'elle insinua que la bête c'était lui, il la regarda avec autant de dureté qu'avant et lui montra ensuite le lit d'un geste brusque. Comment osez elle insinuer qu'il était une bête! Sans lui elle serait peut-être déja morte à l'heure qu'il est mais elle continuait de se comporter comme une pècheresse et une ingrate en plus.

- Voici ton lit tu pourras dormir ici mais pour l'instant je te garde a l'oeil car tu reste une non-humaine. De plus pour ton information montrer de la violence n'est pas un signe d'être une bête si la violence est utiliser pour inculquer des valeur utiles à la survie du groupe elle est une forme d'enseignement, douloureux soite mais qui à plus de chance de faire qu'une personne aussi entêter que vous puisse enfin comprendre sa place et sachez que cette giffle n'est rien et que j'aurais plus être beaucoup plus brutale pour vous inculquez cette lecons de savoir vivre

Son ton de voix à la fin, semblait démontrer un passé douloureux, où lui aussi fut inculquer les base de la survie en un millieu hostile par la douleur. Tout sa dureté, sa rudesse, sa froideur et son comportement semblait ne tenir que par cet événement qui semblait avoir était bruler au fer chaud dans son être. Elle put se rendre compte que cettait sous cette douleur, sous cette enseignement par la douleur que ce cachait le secret de qui il était vraiment, mais elle pouvait aussi savoir que ceci était surement un sujet dangereux à aborder avec une personne aussi instable que Lukas. Peut-être était-ce aussi derrière cet événement que se trouvait la raison de son teint si pâle et maladif.

Tenant à présent le linge humide sur sa joue, elle laissera échappé un soupire. Le regardant dans les yeux, son regard redevenu calme. L’observant curieuse malgré elle. Que pouvait-il se cacher derrière cette froideur et cette dureté ? Elle ne le savait point pour l’instant. Son regard semblant songeur, elle se mordillera la lèvre un peu par réflexe, à ses pensées.

-Ne pourrions-nous pas laisser de coté ces questions de Dieu ? , semblant devenir fatigué d’argumenter sur le sujet. La fatigue semblant peu à peu la gagner alors qu’elle continu à discuter.

-Vous avez vos croyance et j’ai les miennes, restons en là, cela ne s’arrêtera jamais si nous continuons, chacun ayant sa propre vision de la chose.

Puis lorsqu’il lui montrera le lit, elle laissera échappé un autre soupire. N’était-elle donc qu’un enfant qui est malléable ? Non aucunement.

-Vous croyez qu’il n’y a que la violence qui inculque les règles ? Ne connaissez vous pas la patience, le respect des gens ? Dans d’autre peuple humains, les gens s’entraide, règle la question de façon à faire comprendre l’utilité de la chose. Sans recourir à la violence pour faire en sorte qu’on mette la chose en pratique. Il suffit d’en démontrer la raison première.

-Vous essayez de faire de moi une personne qu’on peut utiliser comme on veut. Je vous rappelle que je ne suis plus une enfant, j’ai ma propre volonté d’agir sans qu’on doive tout me dire comment et pourquoi. Ma mère m’a élevé avec douceur simplement, sans me gifler ou autre. Elle trouvait les bons mots pour me faire comprendre mes erreurs. Pas besoin de me punir en me giflant. Vous croyez m’avoir inculqué une leçon ? Désolé, cela ne réussira pas avec moi, au contraire, cela me renforce encore plus dans mes positions. Ma mère me montrait l’exemple, et je l’ai suivi. Elle a fait ce qu’elle a pu pour me rendre heureuse et non malheureuse.

-Lorsque vous me parlez, j’ai parfois l’impression que vous réciter une leçon apprise par cœur. Je me demande même, puisque vous êtes si prompt à gifler aux erreurs, si vous n’avez pas été élevé ainsi. On répète souvent ce qu’on a vécu avec les autres. Le violence engendre la violence n’est ce pas ?

Son regard étant devenu doux, chaleureux. Un peu maternel sans même s’en apercevoir. Elle vint pour poser sa main sur le visage de l’homme, ayant la main a environ la hauteur du torse de l’homme puis elle suspendra le mouvement. S’éloignant alors vers le lit .

Puis tout en s’assoyant sur celui-ci, elle le regardera un peu curieuse mais douce, sa robe remontant quelque peu sur ses jambes fuselées.

-Avez-vous été heureux pendant votre enfance ? Cette froideur est elle un masque ? Est elle du à votre métier de milicien ou bien est elle plus profonde ?

Puis changeant de sujet, elle le regardera toujours dans les yeux.

-Vous ne devriez pas rester si longtemps avec une créature telle que moi, j’imagine que d’autre vous ont vu m’amener à votre chambre, certaines rumeurs pourraient se faire… Et votre intégrité diminuée. Qui sait, peut-être est ce que j’essaie de vous corrompre … Ou bien non … Vous jouez avec le feu en me gardant ici, à l’œil. On pourrait penser que vous avez certaines intentions envers moi …Puis elle se couchera alors sur le lit, légèrement relevé sur ses coudes, face à lui.

-Dites moi, à quelle bête est ce que je vous fais penser cher… oh c’est vrai, je ne connais pas votre nom, peut-être voudriez-vous me le dire ? Le mien est Lysia…, dit elle d’une voix douce.

Il pouvait voir à l'entendre et à la regarder qu'elle avait une personnalité plutôt changeante. Tantôt douce et tendre, tantôt provocante , allait il se confier à elle alors qu'elle passe d'un sujet à l'autre. Une raison particulière ? Le laisser se rendre vulnérable ou bien une autre raison ? S'étant t-elle rendu compte qu'elle laissait une certaine vulnérabilité dans ses paroles, qu'il en vienne à la connaître mieux ? Elle ne pouvait pas se le permettre pour le moment. Pour lui elle était et resterait une étrangère.

Il l’écouta parler sans rien dire pendant un long moment. Il ne faisait que rester là, debout, l’air froid et accusateur. Au fond, elle avait eu raison sur un point, il avait été éduqué de la sorte mais lui ce ne fut pas à coup de gifle, mais à la brulure infernal du fer chauffé a blanc imprégner dans sa chair fraiche. Ces moment était graver dans sa chair et dans son âme et ce même après sa mort. En y pensant bien son enfance avait été loin d’être heureuse, il avait lui aussi été traité tout au long de celle-ci comme une bête. Cette idée s’insinuant peu à peu dans son esprit causa une crispation violente de ces poings et un petit filet de sang sembla lentement se faufiler de ses paumes meurtris pour tomber en petite gouttelette, très lentement, sur le sol. Puis comme pour tenter de faire tomber sa colère, il frappa de toutes ses forces dans le mur s’écorchant les jointures sur celui-ci. Il ne s’en était jamais vraiment aperçu mais il était devenu comme son père, dur, froid et violent. Tous les muscles de son corps étaient tendus. Son regard, fixé sur le mur, était vide de vie. Tout ce qu’il avait toujours hait, tout ce qu’il avait toujours répugné, il le devenait à présent. Ce mal coulait dans ses veines et il ne pourrait surement rien y changer. Il ressemblait en ce moment encore plus à une bête. Une bête blesser et acculer à un gouffre, qui semblait réaliser qu’elle n’avait plus aucune autre solution entre la violence ou la mort.

La jeune femme l’observant toujours, verra peu à peu changer son regard. Voyant ses doigts serrer en poing se crisper, son regard se fera plus aigu. Elle verra par la suite le sang perler de ses paumes. Elle laissera échapper un petit cri de surprise lorsqu’il frappera le mur fortement. Voyant qu’il semble regarder dans le vide, elle s’inquiètera alors. Elle se lèvera d’un pas calme en se dirigeant vers lui. Une voix douce s’élèvera alors dans la pièce. Une vois légèrement mélodieuse, dénué de toute agressivité. Une vois calme et apaisante.
Elle posera sa main sur son bras doucement afin de simplement l’apaisé, espérant qu’il n’interprètera pas mal son geste. Remarquant qu’il semble très refermé sur lui elle tentera de le calmer. Massant doucement son bras.

-Reprenez-vous, tout n’est pas perdu… Si on le veut vraiment, les choses peuvent changer. Rien n’est gravé dans la pierre…

Puis elle s’éloignera quelque instant afin d’aller mouiller le linge qu’il lui avait offert pour sa joue. Elle reviendra par la suite et épongera ses jointures s’il la laisse faire. Le regardant de ses yeux bleu un peu plus foncé.

-Les gens peuvent changer s’ils le veulent vraiment…Restant face à lui, ses ailes venant les entourer comme dans une sorte de cocon.

-Laissez vous aller, vous avez besoin de laissez votre colère sortir, tant que ce ne soit pas sur moi... , dit elle dans un regard doux, amusé.

Lorsque le linge se posa sur la joue il ne sembla pas se rendre compte de sa présence. Son esprit était enfouie dans son passé à se remémorer tout ce qu'il avait subit durant son enfance. Puis quand elle bougea sa mains fermer il posa son regard vide sur elle et la laissa faire. Il semblait regarder au travers d'elle, comme si il ne la voyait pas du tout. Puis lorsque ces ailes de papillons se refermèrent autour d'eux il sembla se crisper un peu plus. Que faisait elle pourquoi agissait elle ainsi après tout ce qu'il lui avait faire. Cela lui rappela sa mère qui malgré les traitements de son père, lui fut toujours rester fidèle. Mais comment osait-il comparez sa mère a un monstre ... mais ... d'une certaine façons ... elle l'était ... elle l'avait laisser souffrir.

-Pourquoi agis tu de la sorte après ce coup que je vous est infliger. De plus, je ne peux me permettre de relacher ma colère cela serait me prouvait faible au yeux de tous. Je ne peux faire cela ...

Peu à peu son regard semblait redevenir vivant et il la regarda sans rien dire d'autre. Il se sentait bien dans ses ailes mais le refusait, elle était un monstre.

Elle se reculera alors doucement, ses ailes se refermant contre son corps. Elle avait ressenti qu’il s’était crisper. Elle ne voulait pas qu’il lui en veule plus. Elle lèvera les yeux vers le ciel lorsqu’elle entendra ses paroles. Puis son regard se reposera sur l'homme devant elle.

-Parce que c’est la première chose qui m’est venu à l'idée et que , c'est ce que ma mère aurait fait. Je ne suis peut-être pas humaine mais j’ai aussi des sentiments. Ensuite, la colère ne veut pas dire être faible, c’est un sentiment bien normal que tous éprouve. Et je ne vous pensais pas du genre à vous demander ce que les autres pensent de vous. Qu’il vous trouve faible ou non. Vous êtes un milicien oui, mais vous êtes aussi un être humain, tous ont leur faiblesse. Et laisser aller sa colère, se défouler, c’est se libérer à un certain point de certaines tension.

Se dirigeant alors vers la fenêtre, qu'elle ouvrira, s'assoyant sur le rebord . Regardant la lune qui est pleine à présent. Ses ailes semblant briller sous les rayons de la lune. Sa chevelure qui cascade jusqu'a ses fesses semblant pleine de brillant . Puis elle reposera alors son regard sur lui.

-Oui vous m’avez gifflé , c’est fait c’est fait , n’en parlons plus. Seulement je ne serai pas aussi tolérante la prochaine fois. Je vous donne une chance , pas deux, dit elle d'une voix un peu plus froide.

Des éclats de vois se faisant entendre à l'extérieur .


-Pensez à tous ce qui vient de se passer, peut-être devriez-vous prendre du repos et réfléchir.

Puis elle se relèvera, se dirigeant vers la porte.

- Je vais aller demander pour avoir une chambre à l'aubergiste. Il ne faudrais pas mettre votre réputation en jeu, je suis sur que les autres miliciens vous ont vu me prendre par le poignet afin que je vous suive.

Puis elle posera sa main sur la poignée et la tournera calment afin de sortir, à moins qu'il ne l'en empêche.

Lukas regarda la jeune femme refermer ses ailes sur elle même craintive qu'il recommence. Il ne pouvait la blâmer de se mouvement de survie. C'était lui qui l'avait giffler durement et ce sans aucune raison valable. C'était se que le protocole disait de faire, alors cela devait être fait, c'est ce qu'il eut appris mais pourquoi, pourquoi cela serait la vérité. Il l'écouta parler sans rien dire appréciant le son mélodieux de sa voix et la douceur qu'elle semblait porter a son égard en ce moment. Mais elle avait tord sur ce qu'elle disait, montrer sa colère aux yeux de tous était à la fois une faiblesse car cela prouvait qu'il ne pouvait se retenir en plus d'être dangereux. De plus, il devait laissez ces émotions de côté pour être un bon millicien. Car personne ne ferais confiance à un millicien qui tremblait de peur ou pire qui semblait être colérique ou violent. Il devait être froid et distant face à tous les problèmes autant ceux des autres que les siens. Puis, lorsqu'il la vut sous les rayons lunaire, il sentit son coeur battre plus vite et des changement avoir lieu dans le bas de son corps. Comment pouvait-il apprécier la vision d'une non humaine, comment pouvait-il accepter d'être excité par ce corps si différent des autres. Il la regarda durant un moment ébahi par sa beauté la contemplant sans rien dire. Puis, s'appercevant qu'il commencait à la dénudé du regard il secoua la tête et crispa brièvement les poing avant de se détendre à nouveau. Lorsqu'elle atteignit la poignée de porte pour sortir, Lukas alla la saisir par les épaules et tout en la retournant il appuya la jeune femme dos contre la porte et la maintint par ceux-ci immobile. Étrangement, elle put sentir une mains invisible se poser sur sa joue et la lui caresser avec une grande douceur avant de lui replacer une mèche rebelle.

++Télékinésie++

D'une voix qui se voulait un tant sois peu plus douce, il prit lentement la parole face à la jeune elféerique.

- Personne n'osera remettre en doute mon honneur , car ceux-ci savent les conséquence que peuvent engendré de fausse accusation contre la noblesse. De plus, je vous ai dit que je garderez un oeil sur vous, pour à la fois vous protéger et vous surveiller. Car si vous agissez avec tous de la façon que vous agissez avec moi vous ne vivrez pas longtemps en ces lieux malheureusement.

Son regard était rivé dans le sien et lentement il approcha son visage pour humer doucement le parfum suave de la chevelure de la jeune femme. Après chaque inspiration. il expirait doucement dans le creux du cou de la jeune femme une haleine chaude qui glissait tout le long de son cou. Se simple mouvement avait l'air d'être la preuve qu'il l'accepter un peu plus a présent mais son humeur changeait si souvent qu'il était difficile de prédire combien de temps cela durerai.

Alors qu’elle se dirigeait vers la porte, elle remarquera un changement dans le regard du milicien posé sur son corps. Son regard semblait montrer un certain désir, ses yeux semblant un peu plus dilater, brillant. Elle le sentait tendu à un moment puis il sembla se détendre par la suite. Puis alors qu’elle ouvrait la porte, elle sentit des mains se poser sur ses épaules, puis la retourner rapidement afin de l’appuyer contre le mur. Elle ressentit alors un mouvement invisible caresser sa joue doucement puis l’une de ses mèche se faire replacer. Il remarqua une certaine surprise dans ses yeux puis son regard semblant légèrement s’amuser, comme si elle avait deviné qu’il avait un certain pouvoir.

-Je ne pensais pas les humains doué de certain pouvoir… , murmurant pour elle-même.


Puis l’écoutant parler, elle fronça légèrement le regard lorsqu’il lui parla de noblesse. Elle ne dira rien sur le coup continuant à l’écouter. Semblant réfléchir. Il lui dit alors qu’elle ne vivrait pas longtemps en ces lieux si elle continuait à agir comme elle agissait avec lui. Un nouveau froncement de regard. Puis alors qu’elle viendra pour lui répondre, elle réalisera que son regard semblait être rivé au sien. Elle ne bougera pas pour le moment le laissant faire malgré qu’elle soit surprise. Sa chevelure et sa peau ayant une odeur sucrée. Un léger frisson malgré elle la traversant. Elle n’avait jamais connu ce genre de rapprochement de la part d’un homme, humain ou non. Son regard semblant changer, un certain désir semblant s’emparer de son corps malgré elle. Son dos étant plaqué contre la porte, ses ailes étant de chaque coté de son corps. Puis elle secouera la tête. Elle n’était pas ce genre de fille. Et surtout elle le connaissait depuis quoi, à peine une demi-heure. Elle le trouvait étrange. Il l’avait giflé parce qu’il ne connaissait que cela, avait tenté de la rabaisser à un rang inférieur, puis à présent il était en train de respirer dans ses cheveux, éprouvant un certain désir pour elle. Il la pensait comment ? Comme une de ces filles qui se donne si facilement ? Malgré elle, elle se demandait si elle devait le laisser continuer, l’encourager ou bien l’arrêter. Si elle le laissait continuer, elle pourrait toujours se servir d’une certaine façon de l’homme en faisant en sorte d’avoir un milicien avec elle dans sa cause. Qui la défendrait contre d’autre. Ou bien elle le remettait à sa place. Son regard semblant changeant et penseur.

Il semblait faire partie de la noblesse à ce qu’il disait, ainsi donc, peut-être pouvait il avoir certain privilège, ou bien faire taire certaine chose qu’il faisait. Ainsi elle aurait encore plus de chance de pouvoir l’utiliser à ses fins. Il put ainsi remarquer un certain changement dans la réaction de son corps, comme une certaine réticence à ce qu’il faisait.

-À ce que j’ai compris, vous êtes un noble ? Alors pourquoi être un milicien, vous n’auriez qu’à lever le petit doigt et surement que l’on vous servirait j’imagine… , son ton semblant un peu froid et provocant.


-Vous dites que si j’agis comme j’agis avec vous, que je ne vivrais pas longtemps, qu’en savez vous ? Vous ne savez rien de moi, et je n’ai rien fait de si spécial avec vous. Je ne me suis pas laissé marcher sur les pieds, je suis restée celle que je suis et je sais me défendre. La gifle, je ne m’y attendais pas, voila pourquoi je suis restée si surprise. Qui sait, j’aurais pu faire en sorte que vous ne soyez plus de ce monde. Je ne suis qu'une non humaine, vous me l’avez si bien répéter. Son ton étant devenu un peu plus froid, mais détachant bien chaque syllable des mots non-humaine.

Son regard s’étant un peu plus durci.

-Vous semblez me voir en une créature du démon depuis le début, et maintenant que vous m’avez à votre merci, enfin tout dépend, car je ne suis pas une petite créature fragile qu’on doit absolument protéger. Vous me regardez différemment depuis quelques minutes. Pourquoi ? Vous n’avez pas eu le corps d’une femme entre vos bras depuis longtemps ? Ainsi vous vous dites, elle est jolie et qui la croirait si elle disait que j’ai voulu l’avoir dans mon lit, puisque j’imagine que les autres miliciens connaissent votre répugnance des non humains… Après tout il y a une bête en moi comme vous l’avez dit plus tôt…

-Vous dites vouloir me protéger, et me surveiller, cela est bien beau, mais qui me protégera de vous ? Mais qui sait, peut-être est ce de moi dont vous devriez vous protéger…

Puis pour le provoquer un peu elle le tirera vers elle par les hanches afin qu’il soit plaqué à son corps. Son torse contre sa poitrine, un léger décolleté se faisant voir. Son regard étant provocant. Son âge pouvait il se voir dans ses réactions ? Dans son physique ? Elle ne le savait pas. Cependant elle aimait jouer avec l’homme. Il l’avait traité de bête plus tôt, alors en ce moment elle se vengeait d’une certaine manière. Elle aimait bien les chats, après tout, il jouait avec leur proie la laissant partir et la rattrapant pour la laisser repartir et ainsi de suite. Cependant, le chat gagnait à la fin . Malgré qu'elle pourrait aussi se faire avoir , rien n'est déja tracer d'avance , et la réaction des humains étant souvent imprévisible.

Voyant sa réaction à nouveau provocatrice il la regarda noir. De toute façons que lui avait il prit, lui, un millicien, un noble et de plus un servant de l'Éternel. Il agissait en bête en ce moment et elle marquait un point quand elle lui demanda qui la protègerait de lui. Depuis un moment il agissait comme un sombre crétin et était même jusqu'a aller à l'encontre des protocoles. La seul pensé de cette déviation des protocoles lui fit ressentir à nouveau la douleur du fer chaud qui lui traversait le corps avec une tel lenteur pour qu'il souffre encore plus. La douleur s'afficha dans son visage comme si vraiment il serait entrain d'être torturer. Il resta la le visage torturer de douleur pendant un bon moment jusqu'a ce qu'elle l'attrape par le bassins pour tenter de la tirer contre elle. Reprenant vite ces esprit, il relacha les épaules de la jeunes femme et plaqua durement ces mains sur la porte de chaque coté de la tête de la jeune femme pour se retenir. Son regard était noir et meurtrier, pour qui se prenait-elle. Comment osé t'elle agir de la sorte. D'une voix authoritaire et d'une grande dureté, il reprit la parole.

- C'est vrai que je ne sais rien de vous mais vous n'en savez encore moins de moi. Alors ne faite pas de vous une grande précheresse qui peut se permettre de faire la morale. Vous êtes ici dans nos terres et vous ne connaissait rien a nos coûtume. En ce qui a trait a vos dire, ma foi très douteux, démontrant en vous une certaines espérance que j'agisse vraiment de la sorte, je ne peux que vous dire que vous vous trompez complétement à mon sujet. Premièrement, jamais je ne viollerai une femme humaine ou non-humaine. Deuxièmement, cet acte est interdit par l'Éternel avant le mariage et jamais je ne viendrais à allez à l'encontre de sa divine parole. Troisièmement, je ne nierai pas que vous êtes fort attrayante, mais sous cette enveloppe charnelle se trouve un être mâlin s'amusant à causer le chaos dans l'esprit des gens, ce qui explique pourquoi la populace vous crains temps et vous considère comme la raison de tout leur maux. De plus, si vous tentez de prouvez que votre espèce n'est pas si maligne que sa alors vous vous y prenez très mal par vos provocation incessante parmi un peuple voué à l'Éternel.

Son regard était river sur elle. C'est parole était cinglante et sans aucune retenue, il pensait complétement ce qu'il disait. Puis, ses mains se crispère autour des poignet de la jeune femme et ce jusqu'a ce qu'elle enlève ces mains autours de ses hanches. Il ne tolérerai plus une telle insubordination de la part d'une non-humaine. Puis, la tassa pour ouvrir la porte et avant de refermer dit d'une voix redevenu froide et sans vie.

- Je vous demanderez de me pardonnez mon écart de conduite qui ne reflétait en aucun point mes origines nobles. Sur ce, bonne nuit et gardez cette chambre, je dormirai dans le corridors pour m'assurez que vous ne fassiez aucune idiotie ou qu'une personne du peuples n'en face une.

Un léger sursaut de sa part au moment où il retira ses mains pour les plaquer de chaque coté de sa tête. Soutenant le regard meurtrier de l’homme face à elle. Elle écoutera alors es paroles sans rien dire, le regard un peu moins provocant. Elle s’attendait cependant à sa réaction.
Son regard à elle devant curieux de l’entendre. Elle pouvait ainsi lui paraître un peu étrange. Elle le provoquait, le soignait se montrait tendre avec lui pour le reprovoquer à nouveau. N’ importe qui aurait été déstabilisé à sa place. Alors qu’elle allait pour lui réponde, il la tassa afin d’ouvrir la porte pour sortir. Elle l’empêchera cependant de refermer la porte.

-Vous partez avant d’écouter ce que j’ai à dire ? Ce n’est pas très gentil…

Elle sortira alors de la chambre, sans penser au fait que ses ailes ne sont plus cachées, ayant retiré la cape plus tôt.

-Maintenant écoutez moi …

-En quoi ais-je été pécheresse ? Je me demande, pour être pécheresse ne faut il pas avoir couché avec un homme ? Sans être marié ? -

-Je ne vous ai pas fait la morale en tant que tel, je disais seulement ce que j’ai remarqué, mettez vous à ma place, vous m’insultez et tout, ensuite vous vous faites tendre, trouvez la logique si vous n’aviez pas en tête de me séduire … Pourquoi voudrais je que nous ayons certaines relations alors que vous ne savez rien de moi ? je ne suis pas idiote tout de même. Vous dites que vous ne violeriez pas une femme humaine ou non-humaine, je vous le concède, mais si vous la séduisez afin qu’elle tombe sous votre charme, ce n’est plus un viol mais un consentement.

Elle l’observera tout le long, son regard dans le sien d’un bleu très clair. Froid.

-Niez que si je vous avais encouragez en caressant doucement votre corps en ayant de belles paroles que vous auriez dit, je ne peux pas coucher avec vous avant le mariage ! Niez-le ! , son ton s étant légèrement élevé. -
-Je n’étais pas qu’attrayante pour vous il y a quelque minute, j’ai ressenti votre regard, un désir aussi. Je suis un être malin qui s’amuse à créer le chaos selon vous, peut –être est ce que vous m’en voulez que ce soit moi qui ai mis terme d’une façon à ce que vous aviez commencé à faire ? Que l’homme que vous êtes s’est repris à temps mais pas parce qu’il s’était dit que ca aurait pu aller trop loin.. mais par le fait que je sois responsable de vos actes… Que vous soyez tombez un peu sous mon emprise. -

- Et puis, pourquoi voudrais-je vous avoir avec moi dans ce lit ? Après tout, vous êtes un simple humain , et me mélanger à vous serait une erreur je crois bien ... Et , pourquoi voudrais je que le premier homme avec qui je partage mon lit soit vous ? Réfléchissez...

-- Les gens ne me craignent pas tant que cela si je fais bien attention de ne pas dire qui ou qu’est ce que je suis. Vous avez peur de vos propres réactions dans cela. Si je me mêle au gens sans les aborder vous croyez qu’ils feront attention à moi ? Je crois plutôt qu’ils vont simplement s’intéresser à leur petite personne. Vous ne cessez de vous référer à cet Éternel, ne pouvez vous donc agir par vous-même ? Décidez de vos agissements seuls ?

Puis elle l’observera et reculera vers l’intérieur de la chambre.

-Je n’ai rien à vous pardonné, et puis si je veux partir d’ici vous ne pourrez pas faire grand-chose pour m en empêcher. Et vous êtes étrange…

Retournant alors sur le lit et s’y couchant sur le dos, ayant laissé la porte ouverte. Regardant le plafond, songeuse.

Il l'écouta et serra les dents, pourquoi une non-humaine était si souvent illogique. C'est sur que le monde ne la remarquerai pas, mais cela si et seulement si elle se mélait à la masse en agissant comme l'une d'elle et non comme une non-humaine qui n'y connais rien à cette ville qui lui est étrangère. Elle agissait comme une gamine et cela l'énervait au plus haut point. Elle risquait de se faire tuer ... mais encore pire ne risquerai pas de mourrire en laissant les autres tranquille. Ces actions ne risquerait d'ammener encore plus d'ennuie et de déclencher une vrai chasse au non-humain. Il ne pouvait la laisser agir ainsi, elle mettait trop de vie en danger, il se devait de tout faire cesser. D'un pas lent il entra a nouveau dans la chambre, en prenant soins de fermer la porte et de la vérouiller. Puis alla s'assoir sur le lit à côté de la jeune femme et posa ses mains sur ses cuisse avant de commencer.

- Un serviteur de l'Éternel ne viendra jamais avec une femme avant le mariage alors oui je nie ce que vous dite. Certe, cela aurait put aller plus loins mais jamais je n'aurais comis l'irréparable. De plus consentante ou non je ne coucherai pas plus avec une femme sauf si j'y suis marier. La plupart des redcrats suivent c'est principes. Remettre constamment en doute l'Éternel soit par vos paroles ou simplement par vos réaction quand une personne vous en parle, sera vite remarquer par la populace. Vous avez raison sur un point un mélange entre un humain et un non-humain serait une erreur et c'est pour cela que peu de gens le font. De plus, je ne vous en veux pas d'avoir montré franchement vos ressentiment, mais c'est plus la dénigration ou la moquerie sur ma part, sur ma parole et sur mon honneur que je prend moins bien. Sachez que pour un redracts, l'honneur, la dignité et l'éternel, sont des sujets sur lesquels il faut faire attention avant de parler.

++Télékinésie++

Deux mains invisible semblèrent faire pression sur les bras de la jeune femme. Cette poussé n'était pas vraiment forte cela se comparait à la poigne d'un enfant de 8 ans qui tenterait de retenir ses bras. Il savait très bien que ces pouvoirs n'était pas assez fort pour la tenir, mais il voulait simplement la rallentir pour allez cherchez de sa mains gauche la gorge de la jeune femme et d'enfoncez ces doigt dans celle ci de sa poigne de fer. Il tourna ensuite lentement la tête et la regarda d'un regard térrifiant, un regard vide de vie, vide de sentiment, vide de compassion, un regard aussi térrifiant que celui d'un mort. Puis d'un ton aussi terrifiant il reprit parole

- Sachez qu'en agissant ainsi vous risquez de mettre en péril la populace et cela je ne peut l'accepter. Je ne fait nullement cela pour me venger mais car je vois très bien que vous ne changerait pas et que vous n'attirerai ici que des ennuies. Pardonnez moi de mon geste mais cela doit être fait pour le bien de tous.

Puis de sa mains droite il se mit a faire le signe de croix en récitant d'une voix forte semblant provenir d'outre tombe.

-In nomine Patris, et Filii, et Spiritus Sancti. Amen.

Son regard restait rivé sur les yeux de la jeune femme sans rien dire et sa poigne se referma encore plus pour l'éttoufer plus rapidement.

(H-J: les paragraphe suivant vont selon la réaction de Lysia)

(1- Se débat sans grand succès)

Voyant son regard commencer à perdre de son éclat par le manque d'oxygène Lukas serra un peu les dent en baissant la tête. Il se devait de le faire ou il mettrait en danger plusieurs vie humaine. Mais une phrase lui revint sans cesse à son esprit, "Tu ne tuera point". Il savait que c'était contre les principes de la religions, mais elle pouvait très bien être une démonne mais il ne croyais pas cela. Il se doutait que les non-humain n'était que des brebis égaré du chemin de l'Éternel et que les fils de l'Éternel devait leur montrer la voie. Lentement sa poigne se relacha laissant la jeune femme respirer et il se releva les yeux fermer par la haines. Tout était si confus dans sa tête mais il ne devait pas allez à l'encontre des principe de l'éternelle. Puis d'un pas lent il se dirigea vers la porte sans rien dire.

(2- si elle réussit à se libérer par elle même. Lukas agira dans le prochain post)

Quelqu'un avait prit soin de cogner doucement a la porte pendant que Lukas était dans sa rage. Aillant pas de réponse ses a coups de pieds que l'entendant enfonçant celle-ci faisant cédé la serrure de piètre qualité. La porte alla se heurter violemment contre le mur débarquant pratiquement de ses vis. Un solda en armure de plate était debout dans le cadre de la porte , les poings chaque coté et se tenant bien droit a la perfection. Un autre personnage fit son apparition cette fois si les détails de l'armure était impeccable. S'était bien un lion de la couronne de Redcratsever , le plus haut rang de prestige dans la garde Royal. Son casque cacher le haut de sa tête laissant la mâchoire a l'air libre , était sans nul doute celui d'un capitaine.

Bien que ce capitaine avec des traits de jeune garçon il semblait ,réellement de ce rang. Sa cape rouge brodé or avec le blason de Redcratsever en témoignait d'avantage. D'un voix de jeune homme mais avec une fermeté exemplaire le Capitaine s'exprima.

'' MILICIEN! Lâchez la !''

Sans a peine reprendre son souffle le Capitaine continua.


'' Suite au récent événement entourant la cité de l'Eoken NOS supérieur on décidé de lancé un cri d'alerte. Tolérant toute race et tout croyance en nos murs. Bien que tout cela semble malheureux et complètement contradictoire a nos motivations et notre religion. L'église a décrété que c'est dans ce genre de moment que les êtres vivant comprendront les desseins de l'éternel ! Pour les autres nous les exterminerons plus tard. Nous avons besoin de nous serrer les coudes si nous voulons continuer a exister. J'ignore qui vous êtes Milicien ou même qu'es ce que cette chose vous a faite, aussi affreuse puisse telle être je vous ordonne malgré moi de vous écartez de ça.''

Le Capitaine leva d'avantage la tête , observa par la fente de son casque le Milicien et l'elférique. Ses yeux Azure se baladait d'un être a l'autre.

'' A moins bien sure que je vous dérange et que vous étiez plutot ...en discution d'échange de service? ''


Le membre des lions de la couronnes croisa les bras attendant une réponse.

Elle s’était donc allongée sur le lit après lui avoir dit sa façon de penser. Elle posa alors son regard sur l’homme qui venait d’entrer dans la pièce. Elle le regarda verrouiller la serrure après qu’il eut fermé la porte. Son regard se fronçant légèrement. Se demandant ainsi ce qu’il avait en tête. Puis il s’avança alors vers elle. Malgré elle, elle devenait légèrement nerveuse. Après tout ce qui s’était dit-elle se posait beaucoup de question. Elle l’écouta parler puis soudainement elle sentit une pression sur ses bras, ne s’y attendant pas. La surprise lui laissant le temps alors d’empoigner sa gorge. Son regard bleu clair et curieux devenant alors surpris, car il l’avait bel et bien surprise. Son regard devenant d’un bleu très clair , presque blanc. Ayant perdu sa chaleur. Elle tentera alors de retirer ses mains de sur sa gorge, un léger gémissement s’en échappant. Elle tentait de légèrement griffer ses mains et ses doigts afin qu’il la lâche. Se débattant, tentant de lui donner des coups de pieds. Ses ailes de papillon battant frénétiquement. Puis soudainement un léger sourire viendra se dessiner sur ses lèvres. Puis alors qu’elle viendra pour fermer les yeux, un bruit plutôt assourdissant se fera entendre, la porte venant de sortir de ses gonds. Son regard tourné vers les nouveaux arrivants. Elle regarda le soldat qui venait d’entrer sans cesser d’essayer de se dépendre de l’emprise de l’homme. Réalisant qu’il semblait haut grader sans pour autant connaître à quel point.

Écoutant ce que l’homme dit sans trop en avoir le choix pour le moment.

Puis soudainement, il pourra remarquer qu’elle ne bougera plus sous lui ayant cessé de se débattre. Un mouvement rapide avait été fait.

Elle était donc rendu un peu plus loin et observait donc le milicien, alors que celui-ci se retrouvera contre rien. Elle avait laissé une image d’elle un clone . Puis elle posera son regard sur celui qui venait d’entrer.

Elle s’adressera alors à l’homme.

-Non, ce n’était pas du tout un échange de service, si vous aviez bien vu, vous auriez vu qu’il tentait de m’étrangler …, sa main venant doucement masser sa gorge endolorie. -

Sa robe laissant découvrir ses jambes, longue et fuselées. Observant le garde de son regard bleu clair, essayant de ne pas le dévisager. Et à son ton, elle devina qu’elle ferait mieux d’être sur ses gardes vu son rang. Le jeune homme qui avait passé un moment avec elle, dont elle ne savait toujours pas le nom, lui inspirait beaucoup moins de craintes. Il avait un poste qui semblait normal.

- Ne vous inquiétez pas … Je ne vous importunerez pas plus longtemps, se dirigeant alors vers la porte d’un pas calme , ses cheveux semblant caresser son corps à chacun de ses pas, puis elle semblera se souvenir de quelque chose. Elle avait oublier sa cape. Elle se dirigera alors rapidement vers le lit et prendra sa cape. Elle regardera alors Lukas dans les yeux sans rien dire, attendant qu’il dise ou fasse quelque chose. Étant à environ 1 mètre de lui, dos au garde.